Originaires de la Guadeloupe, Anaëlle Devarieux et Elliot Viard ont choisi l’UQAR pour venir étudier au baccalauréat en biologie, concentration sciences marines. Une expérience de formation universitaire qui leur permet de concilier les connaissances théoriques aux apprentissages pratiques.
Après avoir effectué un échange BCI (Programme de mobilité du Bureau de Coopération Interuniversitaire) à l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) lors de sa troisième année de baccalauréat en biologie à l’Université de Mons en Belgique (UMONS), l’étudiante Pauline Bertrand a décidé de revenir au Canada pour poursuivre ses études au diplôme d’études supérieures spécialisées (DESS) en gestion de la faune et de ses habitats.
L’Université du Québec à Rimouski a remis un doctorat honoris causa au scientifique Johnny Huard. Gaspésien d’origine, ce spécialiste de la médecine régénérative de réputation mondiale fait sa marque aux États-Unis depuis près de 25 ans.
La Fondation canadienne pour l’innovation (FCI) et le gouvernement du Québec viennent d’accorder à l’Université du Québec à Rimouski un financement de près de 240 000 $ pour créer une station de recherche montagnarde et alpine dans le parc national de la Gaspésie. Une infrastructure qui permettra de développer les connaissances sur l’impact des changements climatiques sur la biodiversité, la géomorphologie et les risques en montagne.
La Galerie d’art Mouvement Desjardins de l’UQAR présente, du 6 au 19 octobre, l’exposition Saint-Laurent du photographe Jean-Christophe Lemay.
L’Université du Québec à Rimouski vient de désigner son herbier institutionnel au nom de Jean Faubert. Fondateur de la Société québécoise de bryologie, ce diplômé en biologie a connu un parcours scientifique remarquable et était reconnu par ses pairs à l’échelle internationale.
L’auxiliaire d’enseignement et de recherche Yves Lemay vient d’être admis au Cercle d’excellence du réseau de l’Université du Québec. Un honneur qui souligne le professionnalisme, la rigueur et la passion de ce biologiste reconnu pour son engagement envers l’UQAR.
Les étudiantes et les étudiants au baccalauréat en biologie ont désormais la possibilité de choisir un nouveau profil qui met l’accent sur les différentes facettes de la recherche scientifique.
Une équipe de biologistes et de chimistes de l’UQAR-ISMER s’est rendue dans le Kamouraska, du 20 au 24 mai, pour effectuer le premier relevé d’une série de campagnes de terrain. Leur but à travers ce suivi estival est de caractériser la trajectoire d’eutrophisation de cette zone côtière en connexion avec les apports du bassin versant de la rivière Kamouraska.
Au cours des 30 dernières années, les spécialistes de l’UQAR en sciences forestières ont réalisé de nombreuses recherches qui ont eu une influence majeure sur l’aménagement durable des forêts. Mariant la recherche fondamentale et la recherche appliquée, leurs travaux ont fait avancer la connaissance tout en développant des méthodes novatrices d’aménagement forestier. Regard sur un domaine de recherche clé de l’Université.
Candidate au doctorat en biologie, Andréanne Beardsell est finaliste au concours « La preuve par l’image » de l’Association francophone pour le savoir – ACFAS avec sa photo « Tout sauf un baiser ».
La Fondation canadienne pour l’innovation (FCI) et le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur (MEES) viennent d’accorder à l’Université du Québec à Rimouski un financement de plus de 800 000 $ pour l’acquisition d’équipements de pointe en génie, en biologie et en océanographie pour la création de trois laboratoires. Des projets qui totalisent plus de 1 M$.
Des chercheuses et des chercheurs membres du laboratoire international associé BeBEST se sont récemment réunis à l’ISMER dans le cadre de leur réunion annuelle. Une occasion de faire le point sur les dernières recherches sur l’étude des écosystèmes marins côtiers.
L’Université du Québec à Rimouski a été choisie par l’Agence spatiale canadienne pour réaliser une recherche sur les écosystèmes côtiers peu profonds à l’aide d’une nouvelle technologie en télédétection. Pêches et Océans Canada est également partenaire de ce projet de près de 600 000 $.
L’Université du Québec à Rimouski vient de signer une entente de partenariat avec la Station Uapishka, située au coeur du Nitassinan de Pessamit, et l’Institut nordique du Québec (INQ). Cet accord contribuera à enrichir le réseau de stations de recherche nordique et permettra de développer une programmation de recherche sur la partie nord-est de la forêt boréale québécoise.
L’Université du Québec à Rimouski reçoit un financement de 1 M$ du ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs pour réaliser des projets de recherche sur l’aménagement durable de la forêt.
Arrivée au Québec en septembre 2018, Marie Cormier a choisi l’UQAR pour la spécialisation possible en sciences marines proposée dans le baccalauréat en biologie. Originaire de Saint-Pierre-et-Miquelon, l’étudiante française a été séduite par l’aspect pratique et concret que l’on retrouve dans cette formation qui propose de nombreux laboratoires associés aux cours théoriques.
Le déclin alarmant de la biodiversité associé aux impacts des changements climatiques et la fragilité de la biodiversité incite plusieurs états côtiers à mettre en place des aires marines protégées. Étudiante au doctorat en gestion des ressources maritimes, Raphaëlle Dancette a constaté sur l'île de Maio au Cap-Vert l’impact de la surpêche sur la subsistance de ses communautés. Ses constats en matière de gouvernance reflètent la vulnérabilité des collectivités dépendantes de la pêche à l’heure de la mondialisation.
Les professeurs Marco Alberio et Martin-Hugues St-Laurent ont reçu des Prix d’excellence de la relève de l’Université du Québec (UQ). Des distinctions qui témoignent de leur dynamisme en recherche en sociologie du travail et en écologie animale.
L’Université du Québec à Rimouski vient d’aménager l’un des laboratoires les plus nordiques du monde. Grâce à un partenariat avec le ministère de la Défense nationale, l’Université a établi ce laboratoire d’étude de la faune à la station militaire d’Alert, à quelque 800 kilomètres du pôle Nord. Une infrastructure qui ouvre un nouveau chapitre dans la recherche nordique à l’UQAR.
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