Diplômée au baccalauréat en histoire, Amélie Blanchette est une étudiante très impliquée dans ses études ainsi que dans de nombreuses activités reliées à sa formation.
Originaire de L’Anse-au-Griffon en Gaspésie, Amélie Blanchette a amorcé un DEC en sciences humaines au Cégep de la Gaspésie et des Îles, campus de Gaspé, en 2011. Son diplôme en poche, elle choisit de s’inscrire au baccalauréat en histoire à l’UQAR, qu’elle commence en 2014. Puisque ses études collégiales ont été réussies avec succès et que sa cote R est de 26 et plus, elle obtient une bourse d’accueil au baccalauréat de 1000 $, offerte par l’UQAR.
C’est après avoir participé à l’une des portes ouvertes de l’UQAR qu’Amélie Blanchette choisit d’y effectuer son baccalauréat en histoire. La proximité de l’UQAR avec la Gaspésie, de même que son intérêt pour l’histoire régionale ainsi qu’un encadrement particulier du personnel enseignant ne sont que quelques-unes des raisons qui ont motivé son choix.
Dès le début de ses études à l’UQAR, Amélie Blanchette s’implique dans plusieurs activités parascolaires. Elle a notamment participé à deux reprises au Kaléidoscope historique, un colloque organisé par les étudiants en histoire de l’UQAR où ces derniers présentent les résultats de leurs recherches effectués dans le cadre de leurs cours. Amélie Blanchette a également fait partie du comité organisateur de la revue Laïus, qui permet aux étudiants en histoire et en lettres de publier des articles dans les champs de l’histoire, du patrimoine et des études littéraires. De plus, dans le cadre de son travail à Parcs Canada, l’étudiante a participé à des fouilles archéologiques menées à Cap-des-Rosiers, dans le parc Forillon en Gaspésie, où elle a été encadrée par l’archéologue Martin Perron.
Amélie Blanchette fait actuellement partie du comité du Ciné-historique, qui présente une fois par mois un film portant sur un thème relatif à l’histoire. L’activité est suivie d’une discussion avec un spécialiste du sujet traité lors de la projection. De plus, l’étudiante est membre de l’Association des Étudiant En Histoire (AEEH) depuis deux ans et siège présentement au poste de Représentante des étudiants de deuxième cycle. « Puisque le nombre d’étudiants est moins colossal qu’ailleurs, il est plus facile de s’impliquer et de se démarquer », explique Amélie Blanchette, qui a également reçu une bourse d’accueil à la maîtrise à l’automne 2017, ainsi que le prix du jury pour sa présentation « Portrait d’une démarche d’histoire sociale de l’architecture : la maison Malouin de L’Anse-au-Griffon » au Kaléïdoscope historique de 2017.
Amélie Blanchette a choisi de s’intéresser à la trame bâtie gaspésienne dans son mémoire de maîtrise dont le titre est « L’Anse-au-Griffon au XXe siècle : organisation et transformations des paysages bâtis d’une communauté gaspésienne ». L’étudiante y abordera l’évolution de l’architecture et des modifications dans le paysage de son village natal. Son directeur de recherche est le professeur Jean-René Thuot.
Dans la dernière année, Amélie Blanchette a été invitée à donner trois conférences à la Société de généalogie et d’histoire de Rimouski et au Comité social des étudiant-es aux cycles supérieurs de l’UQAR. Celles-ci ont porté sur « La famille Le Boutiller, au cœur des entreprises de pêches gaspésiennes » et « La maison Malouin de L’Anse-au-Griffon : portrait social et architectural d’une propriété gaspésienne ».
Mentionnons que les programmes en histoire de l’UQAR visent l’acquisition d’une solide culture historique, comprenant les civilisations anciennes, modernes et contemporaines, l'histoire régionale, occidentale et mondiale, les démarches et les thématiques de l'historiographie contemporaine ainsi qu'une réflexion sur la production du savoir historique.
Note : Les prochaines portes ouvertes 2018 de l’UQAR auront lieu le vendredi 26 janvier au campus de Rimouski et le mercredi 31 janvier au campus de Lévis. Renseignements : www.uqar.ca/visitez.