Originaire de Belgique, Pablo Meeus a entrepris un baccalauréat en chimie de l’environnement et des bioressources à l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) en septembre dernier. Une expérience qui lui permet de découvrir la culture québécoise et d’acquérir une formation qui se démarque par l’importance qu’elle accorde à l’environnement et à la gestion durable.  

C’est l’envie d’étudier à l’étranger qui a poussé Pablo Meeus à s’inscrire à l’UQAR. Passionné à la fois par le domaine de la chimie et celui de l’environnement, l’étudiant belge a trouvé le programme d’études particulièrement intéressant. « Il y a beaucoup de travail pratique dans nos cours, ce qui permet de se détacher un peu de la théorie et de pouvoir l’appliquer directement. C’est une formation qui nous prépare à la réalité du marché du travail », souligne M. Meeus.

Un programme mais aussi une méthode d’enseignement qui a tout de suite séduit l’étudiant. « Les professeurs sont à l’écoute de leurs élèves. Les cours se donnent dans des salles de classe en groupes relativement réduits. Cela rend le contact avec les professeurs beaucoup plus facile », précise M. Meeus. « Par ailleurs, le travail en laboratoire nous permet de mettre en pratique la théorie et nous apprend également à bien gérer une telle infrastructure. »

Pablo Meeus ne connaissait personne à son arrivée à l’Université du Québec à Rimouski, mais son adaptation s’est très bien déroulée. « La communauté est très ouverte et très agréable. Les Québécois sont très accueillants. De plus, avec les étudiants étrangers, nous vivons tous une expérience similaire, ça aide forcément à créer des liens entre nous », observe M. Meeus

Après quelques mois au Québec, l’étudiant belge a déjà des projets d’avenir. Il souhaiterait poursuivre son baccalauréat avec une maîtrise en océanographie à l’UQAR-ISMER. Un domaine qui est une passion d’enfance. « Je ne pensais pas rester au Québec pour la poursuite de mes études, mais en voyant les moyens mis en place pour les étudiants et le système d’enseignement à l’UQAR, je suis de plus en plus certain de ma décision ! », conclut M. Meeus.