La pandémie de la COVID-19 a eu des impacts moindres que ceux appréhendés sur les inscriptions des étudiantes et des étudiants de l’UQAR. La diminution de l’effectif étudiant de l’Université est inférieure à 1 % pour le trimestre d’automne.

En date du 17 septembre, 6590 étudiantes et étudiants étaient inscrits à l’UQAR. Il s’agit d’une baisse de 0,7 % par rapport à l’année dernière. « Considérant que nous faisons face à une pandémie, cette relative stabilité au chapitre des inscriptions est une bonne nouvelle. L’Université est demeurée attractive malgré le contexte actuel », observe le recteur de l’UQAR, Jean-Pierre Ouellet. Plus de 5360 étudiantes et étudiants sont inscrits dans un programme de premier cycle et près de 1230 dans un programme de cycles supérieurs.

Le nombre d’étudiantes et d’étudiants étrangers a connu une diminution de près de 14 %. Alors que l’UQAR en accueillait un nombre record de 557 à pareille date l’année dernière, on en compte 480 cet automne. « La pandémie a eu un impact sur les inscriptions des nouvelles étudiantes et des nouveaux étudiants étrangers. Nous souhaitons que les conditions soient réunies le plus tôt possible afin de pouvoir attirer davantage d’étudiantes et d’étudiants étrangers à l’UQAR. Leur contribution sera essentielle pour avoir une relance sociale et économique du Québec efficiente », indique le recteur Ouellet.

Par ailleurs, le nombre d’étudiantes et d’étudiants en dehors des campus de Lévis et de Rimouski a connu une hausse de 3,3 %. Près de 1300 sont inscrits à l’un des centres de formation de l’UQAR au Bas-Saint-Laurent, en Chaudière-Appalaches, en Gaspésie, aux Îles-de-la-Madeleine, en Haute-Côte-Nord et à l’une de nos formations habituellement offertes à distance. « L’UQAR est l’une des universités qui couvrent le plus grand territoire au Québec. Cela fait partie de son ADN. Le fait de former des étudiantes et des étudiants dans leur région favorise leur rétention et contribue à dynamiser leur milieu par la formation d’une main-d’œuvre qualifiée », indique le recteur Ouellet.

En raison des mesures sanitaires liées à la COVID-19, le trimestre d’automne se déroule en formule hybride, alliant la formation à distance et en présence. « L’UQAR a bonifié ses classes en les munissant de technologies permettant de suivre des cours en présentiel et à distance dans un mode interactif. Les ressources enseignantes font preuve d’originalité dans les méthodes d’enseignement et ne ménagent pas les efforts pour offrir des cours de qualité », conclut le recteur Ouellet.