Étudiante de 3e année au baccalauréat en éducation préscolaire et enseignement primaire, Audrey Dion s’est beaucoup impliquée dans l’organisation du Vélothon qui aura lieu le 10 et 11 février prochain.

Après une technique en éducation spécialisée, Audrey Dion a poursuivi son cheminement à l’UQAR campus de Lévis. Depuis ses débuts à l’Université, elle s’est impliquée au sein de l’Association lévisienne en éducation préscolaire et en enseignement primaire (ALEPEP). Audrey a été chargée de projet deux années consécutives et, cette année, elle occupe le poste de présidente.

En plus des projets qu’elle organise avec l’ALEPEP, la jeune femme a collaboré considérablement au Vélothon 24h cette année. « Pour moi, le Vélothon est un moment où les étudiants et les étudiantes de l’Université se réunissent pour appuyer différents organismes communautaires de la région. C’est un évènement qui apporte un grand sentiment d’appartenance pour notre établissement d’enseignement », explique-t-elle.

Responsable du comité organisateur et membre du comité de gestion du Vélothon 24h, la jeune femme devait s’acquitter de plusieurs tâches importantes : communications interne et externe, planification des groupes scolaires invités, gestion de diverses démarches avec les comités, etc. Malgré la charge de travail que cela impliquait, l’étudiante était motivée dans la réalisation du projet. « J’ai toujours aimé les évènements rassembleurs. Le Vélothon est LE moment de l’année à ne pas manquer. On se réunit entre amis pour une bonne cause. C’est un moment qu’on apprécie et qui solidifie les liens des participants de chaque équipe. »

Tout au long de l’année, une trentaine d’étudiants et membres du personnel ont travaillé à l’organisation du Vélothon 24h. Les étudiants et les étudiantes du baccalauréat en éducation préscolaire et enseignement primaire sont particulièrement impliqués dans cet évènement. Ils occupent sept équipes sur un total de 20 cette année. Pour cette 7e édition, Audrey Dion pédalera en l’honneur du Club des petits déjeuners du Québec. Cette cause lui tient à cœur puisque, en tant qu’enseignante, elle considère que tous les enfants devraient pouvoir déjeuner afin de permettre de bons apprentissages scolaires.

La jeune femme mentionne être très satisfaite de son cheminement à l’UQAR. « J’apprécie vraiment tout de mon université. Nous avons l’avantage de pouvoir facilement créer des liens avec les membres de la communauté universitaire et de collaborer avec les différentes associations de l'Université. Lorsque nous avons un projet, il est presque toujours possible de le réaliser. » Après son baccalauréat, l’étudiante souhaite exercer sa profession dans la région. Un de ses rêves est d’accéder à un poste de conseillère pédagogique en gestion de classe.