Biologie

  • Candidate au doctorat en biologie, Marion Chevrinais a mis en œuvre un projet de fouilles fossilifères dans les affleurements gaspésiens. L'étudiante de l'UQAR a collaboré avec Katharine E. Criswell (University of Chicago) et Tetsuto Miyashita (University of Alberta).

  • David Grenier-Héon a eu la chance de travailler pendant trois étés pour le laboratoire d'aménagement et de sylviculture de la Chaire de recherche sur la forêt habitée. En 2015, l’étudiant au baccalauréat en biologie, concentration faune et habitats, a agi à titre d’assistant de recherche pour un projet sur l’allométrie des arbres.

  • Diplômé du baccalauréat en biologie de l’UQAR en 1984, Jacques Brodeur est l’un des chefs de file mondiaux dans le domaine de la lutte biologique. Zoom sur un grand biologiste de chez nous.

  • La diplômée à la maîtrise en gestion de la faune et de ses habitats Jessie Héon et son directeur Dominique Arseneault ont remporté la première édition du Prix Découverte scientifique BORÉAS, un concours initié par le groupe de recherche sur les environnements nordiques afin de mettre en valeur les travaux de recherche de ses membres.

  • L’exposition Georges Préfontaine, un pionnier du développement des sciences au Québec est présentée à l’UQAR sur la mezzanine du campus de Rimouski du 1er au 31 octobre.

  • Un des trois grands axes d’excellence de l’UQAR est l’étude de la nordicité. Encore cette année, trois étudiants en biologie s’intéressant aux enjeux du Grand Nord se sont démarqués en obtenant des bourses Vanier et W. Garfield Weston, totalisant 215 000$.

  • De l’UQAR au pôle Nord

    C’est dans la station de recherche la plus au nord de la Norvège que Léa Loubet-Sartrou, étudiante au baccalauréat en biologie, a effectué un stage de cinq semaines dans le cadre du cours Introduction à la recherche.

  • L’Association des communicateurs scientifiques du Québec a remis son prix Hubert-Reeves 2015 au professeur Dominique Berteaux pour son ouvrage Changements climatiques et biodiversité du Québec: vers un nouveau patrimoine naturel.

  • L’Association Aquacole du Canada vient de remettre son Prix d’excellence en recherche à la professeure Céline Audet. Une reconnaissance qui souligne l’impact significatif des travaux de l’écophysiologiste de l’UQAR-ISMER sur l’industrie aquacole.

  • Une équipe multidisciplinaire de chercheurs de l’UQAR vient d’identifier une nouvelle algue dans l’estuaire du Saint-Laurent. Déjà connue en Asie, la microalgue verte Coccomyxa sp. est signalée pour la toute première fois dans des moules bleues dans les environs de Rimouski. Une découverte étonnante dans cette portion de l’Amérique du Nord.

  • Les amateurs de crevettes nordiques, communément appelées au Québec les « crevettes de Matane », ne verront plus les changements climatiques du même œil. Une recherche réalisée par le professeur Piero Calosi et ses collègues européens démontre qu’une exposition aux futures conditions d’acidification des océans risque d’altérer significativement le goût de ce crustacé.

  • Candidat au doctorat en sciences de l’environnement, Maxime Boivin représentera l’UQAR dans le cadre du concours Ma thèse en 180 secondes tenu lors du 83eCongrès de l’Acfas, du 25 au 29 mai, au campus de Rimouski.

  • Encore une fois, le Bas-Saint-Laurent se démarque par le nombre des activités offertes au grand public et dans les écoles!

  • La Chaire de recherche sur la forêt habitée présente le 9e colloque annuel du Centre d’étude de la forêt (CEF) les 30 avril et 1er mai à l’UQAR campus de Rimouski. Plus de 200 spécialistes de la forêt s’y réuniront afin de partager leurs plus récents résultats de recherche.

  • L’Université du Québec à Rimouski vient d’obtenir le renouvellement de sa Chaire de recherche du Canada en biogéographie et écologie des métacommunautés. Spécialiste de la distribution de la biodiversité et de son impact sur le fonctionnement des écosystèmes, le professeur Dominique Gravel en est le titulaire.

  • La conciliation des intérêts écologiques et économiques est un enjeu crucial pour l’exploitation forestière. Le biologiste Laurent Gagné a développé une méthode de sylviculture axée sur une conversion structurale des forêts permettant, d’une part, une régénération efficace de la ressource et, d’autre part, une rentabilité intéressante pour l’industrie forestière. Regard sur une approche appelée à modifier la sylviculture comme on la connaît au Québec.

  • En séjour pour trois mois à l’UQAR, le diplômé au doctorat en biologie Nicolas Pichaud participe avec le professeur  Pierre Blier et Erik Sandblom, de l’Université de Göteborg en Suède, à un projet de recherche novateur sur la consommation d’oxygène des poissons.

  • Une équipe de chercheurs de l’UQAR et du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) vient d’élucider une énigme paléontologique au sujet des milliers de petits fossiles nommés Scaumenella, qui ont été retrouvés en abondance dans les falaises fossilifères de Miguasha, en Gaspésie. Datant de 380 millions d’années, ceux-ci ont suscité l’intérêt de paléontologues européens, américains et canadiens depuis près de 80 ans.

  • Le 9 janvier dernier, Rimouski fut l’hôte d’un évènement majeur pour les biologistes en herbe, les Jeux Interbios 2015! Ces jeux qui ont lieu chaque année dans différentes universités rassemblent plus de 300 étudiants au baccalauréat en biologie de partout au Québec : Montréal, Québec, Sherbrooke, Trois-Rivières, Chicoutimi et même de Moncton, au Nouveau-Brunswick.

  • Deux étudiants en biologie, Frankie Jean-Gagnon et Vincent Lamarre, ont remporté des premiers prix pour leurs affiches lors de la conférence internationale Arctic Change 2014 présentée en décembre dernier à Ottawa.