Chimie de l’environnement et des bioressources

  • Le pétoncle géant, communément appelé coquille Saint-Jacques, est de plus en plus soumis à la présence de microplastiques dans son environnement. Une équipe de l’ISMER-UQAR a réalisé une recherche montrant qu’il parvient à éliminer rapidement les particules de polystyrène qu’il a ingérées durant une période de deux semaines, ce qui constitue une bonne nouvelle pour les consommateurs.

  • Finissant au baccalauréat en chimie de l’environnement et des bioressources, Félix Cloutier-Artiwat vient d’obtenir une bourse d’excellence de l’Ordre des chimistes du Québec. Une belle distinction pour ce passionné de géochimie.

  • De plus en plus de microplastiques et d’additifs se retrouvent dans l’estuaire et le golfe du Saint-Laurent. Étudiant à la maîtrise en océanographie, Kevin Crampond s’est penché sur leur caractérisation et leur détection. Un projet qui s’inscrit dans le cadre d’une étude internationale mobilisant des chercheuses et des chercheurs de six pays.

  • La décontamination des eaux usées est un important enjeu environnemental. Dans le cadre de sa maîtrise sur mesure en chimie, Alexandre Coulombe étudie le grand potentiel des argiles sensibles de la Mer Champlain à absorber et à séquestres divers types de polluants. Un projet de recherche novateur en développement durable.

  • L’Université du Québec à Rimouski et son Institut des sciences de la mer ont obtenu, conjointement avec leurs partenaires, un financement historique pour réaliser des recherches sur l’action climatique et le rôle des océans. Plus de 154 M$ leur sont alloués dans le cadre du Fonds d’excellence en recherche Apogée Canada.

  • Une douzaine d’étudiantes et d’étudiants du Centre matapédien d’études collégiales (CMÉC) ont pu se familiariser avec le travail en laboratoire de chimie à l’UQAR. Une occasion de passer de la théorie à la pratique afin de mieux comprendre la présence des microplastiques dans l’environnement.

  • Quand chimie rime avec passion

    Tommy Fraser est un passionné de chimie. Après un baccalauréat, il a poursuivi son parcours universitaire avec une maîtrise sur mesure en chimie afin d’approfondir ses connaissances sur la synthèse totale de produits naturels. Un domaine de recherche aussi vaste que les applications qui peuvent en découler.

  • Les résidus céréaliers générés lors de la production de bière pourraient bien représenter une solution de rechange aux microbilles exfoliantes qu’on retrouve notamment dans des produits d’hygiène. Candidate à la maîtrise sur mesure en chimie, Amy McMackin a consacré son projet de recherche réalisé sous la direction du professeur Sébastien Cardinal au développement de nouveaux matériaux biosourcés par la valorisation de la drêche brassicole. Une innovation bénéfique pour l’environnement.

  • Une équipe intersectorielle de l’UQAR, du Cégep de la Gaspésie et des Îles (CGÎ) / Merinov et des Fruits de Mer Madeleine inc. développe, en collaboration avec le Centre d’expertise en gestion des risques d’incidents maritimes (CEGRIM), une plateforme de biotests pour l’industrie de la pêche au homard. Cette plateforme a pour but d’assurer les plus hauts standards de qualité de cette ressource prisée par les amateurs de fruits de mer. Un projet de recherche où l’innovation et la préservation de ce crustacé se marient afin d’assurer une pêche plus durable et de favoriser l’autonomie alimentaire du Québec.

  • Unique au Québec, le baccalauréat en chimie de l’environnement et des bioressources vise la formation de chimistes pouvant apporter des solutions concrètes sur le plan de la gestion durable et de la qualité de vie de la population. Pas moins de 70 % des cours comportent du travail en laboratoire et des sorties sur le terrain.

  • La Fondation canadienne pour l’innovation vient d’accorder à l’Université du Québec à Rimouski une somme de plus de 210 000 $ pour l’acquisition d’équipements de pointe permettant de mieux comprendre la source, la répartition et les impacts des contaminants émergents de l’écosystème de l’estuaire et du fleuve Saint-Laurent et de l’Arctique.

  • Le Réseau Québec maritime et son programme de recherche Odyssée Saint-Laurent sont heureux de confirmer le financement de six projets de recherche intersectoriels. En tout, 1 375 694 $ ont été octroyés pour la réalisation de ces initiatives qui prendront place de 2021 à 2022. Les projets auront lieu à bord de trois navires, soit le Coriolis II, le Macoma et le Louis-Edmond Hamelin.

  • Une équipe multidisciplinaire de l’UQAR s’intéresse à une lettre provenant d’une bouteille qui aurait été lancée à la mer la veille du naufrage du Titanic. La missive, datée du 13 avril 1912, a été découverte sur une plage d’Hopewell Rocks, dans la baie de Fundy, au printemps 2017.

  • Une importante recherche sur les effets chroniques des microplastiques sur le pétoncle géant sera menée par une équipe de l’UQAR au cours des quatre prochaines années. Appuyé par Pêches et Océans Canada, ce projet est dirigé par le professeur en chimie Youssouf Soubaneh.

  • Anne Marinier est la chercheuse principale et la directrice de la chimie médicinale à l’Institut de recherche en immunologie et en cancérologie (IRIC) de l’Université de Montréal. Diplômée au baccalauréat en chimie, elle a fait sa marque dans le domaine de la recherche, notamment avec le développement de la molécule UM171, qui a la propriété de multiplier les cellules souches présentes dans le sang de cordons ombilicaux. Portrait de la 19e lauréate du Prix d’excellence des diplômés de l’UQAR.

  • L’Université du Québec à Rimouski a récemment procédé à la nomination du professeur Jonathan Gagnon au poste de doyen aux affaires départementales. M. Gagnon est entré officiellement en fonction le lundi 10 août.

  • La Station Uapishka vient de lancer un guide sur les principaux besoins et enjeux de recherche dans le secteur de l’arrière-pays de la Manicouagan. Disponible en ligne, ce document est le fruit d’un partenariat entre la station, l’Institut nordique du Québec et l’UQAR.

  • Située au cœur du Nitassinan de Pessamit, la Station Uapishka offre un accès privilégié à la partie est du Nord québécois. Encore peu exploré, ce territoire présente un grand potentiel de recherche pour mieux comprendre, entre autres, l’impact des changements climatiques et des activités humaines sur la faune et l’environnement nordique de même que la dynamique forestière en milieu boréal. Affiliée à l’Université du Québec à Rimouski, la Station Uapishka est dotée d’infrastructures qui permettront d’ouvrir un nouveau chapitre dans la recherche nordique.

  • Plus de 1100 personnes ont pris part, samedi dernier à l’Hôtel Rimouski, à la collation des grades de l’Université du Québec à Rimouski. Plus de 52 000 diplômes ont été remis par l’UQAR depuis sa création il y a 50 ans.

  • La Fondation de l’Université du Québec à Rimouski remettra son Prix d’excellence des diplômés de l’UQAR à Anne Marinier, chercheure principale et directrice de la plateforme de chimie médicinale à l’Institut de recherche en immunologie et en cancérologie de l’Université de Montréal (IRIC). Elle est également fondatrice scientifique et chef de la direction technique – chimie de la société de biotechnologie ExCellThera en plus d’agir à titre de professeure associée au département de chimie et de pharmacologie de l’Université de Montréal. Mme Marinier est la dix-neuvième diplômée à recevoir cette prestigieuse distinction.