Aude Flamand vient d’obtenir son laissez-passer pour la sixième finale internationale du concours de vulgarisation scientifique Mon projet nordique. L’étudiante à la maîtrise en océanographie s’envolera pour l’Islande en octobre prochain pour présenter ses recherches sur l’impact du dégel du pergélisol.
L’Université du Québec à Rimouski vient d’obtenir le renouvellement de sa Chaire de recherche du Canada en écologie halieutique. Dirigée par le professeur Dominique Robert, de l’Institut des sciences de la mer de Rimouski (ISMER-UQAR), cette chaire consacre ses travaux à la valorisation des ressources de la pêche.
La Chaire UNESCO en analyse intégrée des systèmes marins en collaboration avec le Cabaret de le Diversité et de nombreux autres partenaires souligneront la Journée mondiale des océans le 8 juin prochain à l’UQAR. Toute la communauté de Rimouski est conviée à une soirée grand public sous le thème Regards sur notre océan.
L’Université du Québec à Rimouski (UQAR) et son Institut des sciences de la mer de Rimouski (ISMER) joignent un réseau de recherche international portant sur les risques et catastrophes naturels. Le coup d’envoi à un important projet de recherche de cinq ans vient d’être donné à l’ISMER-UQAR.
Étudiante à la maîtrise en océanographie, Jeanne Mérindol consacre ses recherches au paysage acoustique du Saint-Laurent. À l’aide des données recueillies par la station de recherche MARS installée entre 80 et 300 mètres de profondeur au large de Rimouski, la chercheuse de l’ISMER-UQAR analyse les effets du bruit de trafic maritime sur les mammifères marins du Saint-Laurent.
Candidate au doctorat en océanographie, Abïgaëlle Dussol représentera l’UQAR à la finale du concours « Ma thèse en 180 secondes » le 11 mai prochain dans le cadre du 89e Congrès de l’Acfas.
Les décharges d’eau souterraine sont connues comme une importante voie « invisible » d’échange de matière et d’eau douce entre le continent et l’océan. Dans le cadre de son doctorat en océanographie, Laísa Peixoto Ramos s’intéresse à leur impact qui est fondamental dans le cycle biogéochimique côtier.
L’Institut des sciences de la mer de Rimouski (ISMER-UQAR) accueille annuellement près d’une quarantaine de nouvelles étudiantes et de nouveaux étudiants. Qu’ils poursuivent leurs études au diplôme d’études supérieures spécialisées (DESS), à la maîtrise ou au doctorat en océanographie, leurs parcours témoignent de la diversité de la relève en recherche dans ce domaine phare pour le Québec.
Unique au Québec, le baccalauréat en chimie de l’environnement et des bioressources vise la formation de chimistes pouvant apporter des solutions concrètes sur le plan de la gestion durable et de la qualité de vie de la population. Pas moins de 70 % des cours comportent du travail en laboratoire et des sorties sur le terrain.
La Chaire UNESCO en analyse intégrée des systèmes marins et le comité EDI de l’ISMER soulignent la Journée internationale des femmes et des filles en science. Une exposition mettant en valeur le parcours de dix chercheuses en océanographie est présentée dans le hall d’entrée de l’Institut des sciences de la mer de Rimouski (ISMER-UQAR).
Le professeur Dominique Robert, de l’ISMER-UQAR, est lauréat du Prix Publication en français Gisèle-Lamoureux des Fonds de recherche du Québec (FRQ) pour un article portant sur le rétablissement du flétan atlantique dans le golfe du Saint-Laurent. Une belle reconnaissance pour le titulaire de la Chaire de recherche du Canada en écologie halieutique.
Une équipe de l’Institut des sciences de la mer de Rimouski de l’UQAR (ISMER-UQAR) est impliquée dans une exposition multidisciplinaire présentée en France. « ARTIC BLUES » offre un regard intime de la recherche en océanographie dans des milieux nordiques.
L’équipe du projet de recherche O’Salis vient de mettre en ligne une plateforme de communication portant sur le risque de salinisation des puits dans les régions du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie. Elle est accessible sur le site osalis.ca.
De nouvelles professeures et de nouveaux professeurs réguliers se sont joints à l’Université du Québec à Rimouski au cours de la dernière année universitaire. L’UQAR-Info profite de leur arrivée pour vous les présenter.
L’Université du Québec à Rimouski a remis son Prix reconnaissance 2021 à Alain Caron. Une distinction qui souligne la contribution et l’engagement de cet auxiliaire d’enseignement et de recherche au Département de biologie, chimie et géographie.
Nommée parmi les 50 personnes les plus innovantes au monde par la Société royale de Londres, Maya Al-Sid-Cheikh est une chercheuse qui attire de plus en plus l’attention. Diplômée à la maîtrise en océanographie, cette spécialiste en chimie analytique environnementale est aujourd’hui professeure à l’Université de Surrey, en Angleterre. Portrait d’une scientifique qui se démarque avec ses travaux sur les contaminants des océans.
Les concentrations en oxygène dissout sous 250 mètres de profondeur dans l’estuaire du Saint-Laurent sont en chute depuis près de 100 ans. Les plus récentes données recueillies lors de missions à bord du navire océanographique Coriolis II montrent qu’elles se situent sous le seuil d’une hypoxie sévère.
Étudiante au baccalauréat en biologie, Carole Govin est assistante de recherche au Laboratoire Avancé en Bioénergie (LAB) dirigé par le professeur David Deslauriers, de l’ISMER-UQAR. Un emploi qui lui permet de mettre en application ses connaissances et de s’initier à la recherche.
Diplômée à la maîtrise en océanographie, Fatma Dhifallah a une fois de plus remporté le Prix du jury dans le cadre du concours « La preuve par l’image » de l’Acfas avec sa photo « Attention, plancton mortel! » Une première à l’UQAR.
Une station de recherche visant à mieux comprendre la signature acoustique des navires a récemment été déployée au centre du chenal Laurentien, au large de Rimouski. Unique au monde, ce projet de près de 6 M$ favorisera une meilleure cohabitation entre les activités des armateurs et la faune marine.
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