Recherche

  • L’expertise de l’Université du Québec à Rimouski sur les questions liées au développement régional est reconnue depuis des décennies. Multidisciplinaire, l’équipe du Département sociétés, territoires et développement est l’une de celles qui mènent des travaux sur des enjeux qui façonnent les communautés. Qu’il s’agisse de l’exploitation des ressources naturelles, de l’adaptation aux changements climatiques ou de l’impact des politiques sur l’économie et les communautés régionales, ses recherches font rimer population et innovation.

  • Les simulateurs de croissance sont des outils permettant aux gestionnaires de forêt de prévoir un aménagement sylvicole efficient. Les simulateurs actuellement utilisés sont moins précis pour les plantations avec beaucoup de régénération naturelle comme celles de l’Est-du Québec. Une équipe de l’UQAR a développé un simulateur à l’échelle de l’arbre pouvant servir à comparer des scénarios sylvicoles adaptés à ce type de forêt.

  • Le professeur Dominique Robert, de l’ISMER-UQAR, est lauréat du Prix Publication en français Gisèle-Lamoureux des Fonds de recherche du Québec (FRQ) pour un article portant sur le rétablissement du flétan atlantique dans le golfe du Saint-Laurent. Une belle reconnaissance pour le titulaire de la Chaire de recherche du Canada en écologie halieutique.

  • L’Agence universitaire de la Francophonie (AUF) vient d’attribuer un prestigieux prix à Judicaël Alladatin, qui a réalisé un postdoctorat à l’UQAR en sciences de l’éducation sous la direction du professeur Jean Bernatchez. Le chercheur originaire du Bénin est l’un des quatre lauréats de la 10e édition du Prix de la Francophonie pour Jeunes Chercheurs.

  • Une équipe de l’Institut des sciences de la mer de Rimouski de l’UQAR (ISMER-UQAR) est impliquée dans une exposition multidisciplinaire présentée en France. « ARTIC BLUES » offre un regard intime de la recherche en océanographie dans des milieux nordiques.

  • Tristan Reesör est un passionné d’aquaculture. Étudiant au baccalauréat en biologie, concentration sciences marines, il possède déjà un bon bagage de connaissances dans le domaine, notamment grâce à des stages effectués chez Merinov. Portrait d’un jeune curieux qui souhaite « cultiver la mer ».

  • L’Université du Québec à Rimouski se classe à nouveau au sommet du classement des meilleures universités canadiennes de sa catégorie en recherche. Pour une troisième fois en dix ans, l’UQAR a été désignée comme université de l’année par la firme indépendante Research Infosource Inc.

  • L’équipe du projet de recherche O’Salis vient de mettre en ligne une plateforme de communication portant sur le risque de salinisation des puits dans les régions du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie. Elle est accessible sur le site osalis.ca.

  • La Chaire interdisciplinaire sur la santé et les services sociaux pour les populations locales (CIRUSSS) prend part au projet de recherche-action « Bien vieillir chez soi » visant à innover pour adapter l’offre de services intersectorielles afin de permettre aux personnes aînées de vivre le plus longtemps possible dans leur communauté.

  • Étudiant à la maîtrise en informatique, Benjamin Lapointe-Pinel mène des travaux visant à améliorer les capteurs de distance à triangulation laser active qu’on retrouve notamment en robotique et dans les procédés de fabrication électronique. Un projet de recherche qui lui permet de marier plusieurs facettes de l’informatique.

  • Soucieuse de concrétiser ses engagements en équité, diversité et inclusion (EDI) dans toutes les sphères de l’activité universitaire, l’UQAR lancera en janvier prochain la COPEDI, une toute nouvelle communauté de pratique pour l’EDI en recherche. Les membres du corps professoral, les professionnelles et professionnels de recherche, les personnes menant des travaux de recherche aux niveaux doctoral et postdoctoral sont spécifiquement invitées à y prendre part.

  • Le professeur en sciences de l’éducation Dominic Voyer est lauréat de la distinction Alcide-C.-Horth 2021. Une reconnaissance qui témoigne de sa contribution à l’avancement des connaissances et à l’essor de la recherche en didactique des mathématiques.

  • L’Université du Québec à Rimouski a remis son Prix reconnaissance 2021 à Alain Caron. Une distinction qui souligne la contribution et l’engagement de cet auxiliaire d’enseignement et de recherche au Département de biologie, chimie et géographie.

  • De concert avec les communautés de Grise Fiord et de Kugluktuk, une équipe de l’UQAR mène des travaux de recherche visant à trouver des solutions aux risques côtiers liés aux changements climatiques en Arctique. Encore peu étudié au Nunavut, cet enjeu est néanmoins crucial pour le mode de vie des Autochtones qui y résident.

  • Nommée parmi les 50 personnes les plus innovantes au monde par la Société royale de Londres, Maya Al-Sid-Cheikh est une chercheuse qui attire de plus en plus l’attention. Diplômée à la maîtrise en océanographie, cette spécialiste en chimie analytique environnementale est aujourd’hui professeure à l’Université de Surrey, en Angleterre. Portrait d’une scientifique qui se démarque avec ses travaux sur les contaminants des océans.

  • Une enquête sur les élues et élus municipaux au Bas-Saint-Laurent est en cours de réalisation à l’UQAR. Les résultats permettront de mieux comprendre la réalité du travail des élus dans les territoires et de suggérer des pistes d’action afin de les outiller dans leur pratique.

  • « Ouragans, tornades, vagues de chaleur, inondations. Des événements dont on entend de plus en plus souvent parler, particulièrement avec ce qui se passe en Colombie-Britannique ces jours-ci. Ces catastrophes touchent souvent Haïti, Philippines et de plus en plus… le Québec. Les changements climatiques touchent tout le monde », explique la travailleuse sociale, Joanie Turmel.

  • L’utilisation de résidus de crabe des neiges et de homard pour développer des produits alimentaires est sur le point de devenir une orientation prometteuse aussi bien d’un point de vue économique que d’un point de vue environnemental pour les usines de transformation. Candidate à la maîtrise en gestion des ressources maritimes, Gabrielle Plourde travaille présentement sur un tel projet avec Merinov.

  • Les concentrations en oxygène dissout sous 250 mètres de profondeur dans l’estuaire du Saint-Laurent sont en chute depuis près de 100 ans. Les plus récentes données recueillies lors de missions à bord du navire océanographique Coriolis II montrent qu’elles se situent sous le seuil d’une hypoxie sévère.

  • Étudiante au baccalauréat en biologie, Carole Govin est assistante de recherche au Laboratoire Avancé en Bioénergie (LAB) dirigé par le professeur David Deslauriers, de l’ISMER-UQAR. Un emploi qui lui permet de mettre en application ses connaissances et de s’initier à la recherche.