Une quarantaine de chercheurs du Centre de recherche sur le développement territorial (CRDT) et de diverses universités, dont neuf de l’UQAR, estiment que les coupures dans les institutions de développement régional, comme les conférences régionales des élus et les centres locaux de développement, fragilisent les régions et auront des impacts plus importants que la seule disparition de ces structures.