
Former la relève en recherche s’intéressant à la santé et les services sociaux en milieu rural est au cœur des activités de la Chaire interdisciplinaire de recherche sur la ruralité, la santé et les services sociaux, qui offre des occasions de recherche pour les étudiantes et les étudiants de tous les cycles universitaires.
Titulaires
![]() | Lily Lessard, inf. Ph.D. Professeure en sciences infirmières Département des sciences de la santé Chercheure régulière Centre de recherche du CISSS Chaudière-Appalaches Campus de Lévis |
Formation
- Doctorat en santé communautaire, Université Laval 2015
- Maîtrise en santé communautaire, Université Laval, 2005
- Baccalauréat en sciences infirmières, Université Laval, 1996
Intérêts de recherche
- Santé des populations et déterminants de la santé
- Adéquation et qualité des pratiques de santé de première ligne au contexte des milieux ruraux et éloignés
- Adaptation des populations rurales et des systèmes de santé et services sociaux aux risques environnementaux et climatiques pour la santé et le bien-être
- Santé mentale populationnelle
- Collaboration interprofessionnelle dans les services de santé et sociaux
- Leadership infirmier et étendue du rôle infirmier en première ligne
- Gestion du changement organisationnel
Projets de recherche en cours et subventions
Voir l’onglet Axes et projet de recherche
Supervision d'étudiants de cycles supérieurs
Maîtrise sans mémoire
Directeur de recherche principal
- Gauthier, Anne-Marie (En cours) , Université du Québec à Rimouski
Date de début du diplôme de l'étudiant: 2012/8
Date prévue pour l'obtention du diplôme de l'étudiant: 2021/4
Description du projet: Évaluation d'une intervention en ligne à l'attention des infirmières cliniciennes en GMF et visant à accroître l'identité professionnelle.
Poste actuel: Étude temps partie
Maîtrise avec mémoire
Directeur de recherche principal
- Bisson-Cauchon, Camille (En cours) , Université du Québec à Rimouski
Date de début du diplôme de l'étudiant: 2020/9
Date prévue pour l'obtention du diplôme de l'étudiant: 2022/8
Description du projet: Expérience de soins des hommes vivant en milieu rural et ayant vécu un transfert d'urgence dans un contexte de soins aigus vers un centre hospitalier
Poste actuel: Études temps complet - Tremblay, François (En cours) , Université du Québec à Rimouski
Date de début du diplôme de l'étudiant: 2015/9
Date prévue pour l'obtention du diplôme de l'étudiant: 2022/12
Description du projet: Stratégies visant à soutenir le leadership clinico-administratif des cadres intermédiaires en région devant assurer une gestion à distance de leur équipe de soins.
Poste actuel: Abandon études maîtrise - Morin, Mélanie (Terminé) , Université du Québec à Rimouski
Date de début du diplôme de l'étudiant: 2015/9
Date d'obtention du diplôme de l'étudiant: 2020/1
Description du projet: Étude de l'étendue du rôle des infirmières dans la région de la Côte-Nord
Poste actuel: Diplômée de la maîtrise en sciences infirmières - Maranda, Julie (En cours) , Université du Québec à Rimouski
Date de début du diplôme de l'étudiant: 2013/12
Date prévue pour l'obtention du diplôme de l'étudiant: 2021/12
Description du projet: Le leadership clinique chez les infirmières de la relève
Poste actuel: Étudiante à temps partiel - Chouinard, Nathalie (Terminé) , Université du Québec à Rimouski
Date de début du diplôme de l'étudiant: 2011/9
Date d'obtention du diplôme de l'étudiant: 2019/2
Description du projet: Stratégies infirmières pour améliorer l'adhésion à la prise de multivitamines chez les personnes ayant subi une chirurgie bariatrique de type dérivation biliopancréatique
Poste actuel: Diplômée de la maîtrise en sciences infirmières
Codirecteur de recherche
- Joanie Turmel (En cours) , Université du Québec à Rimouski
Date de début du diplôme de l'étudiant: 2020/9
Date prévue pour l'obtention du diplôme de l'étudiant: 2023/9
Description du projet: Impacts psychosociaux et stratégies adaptatives des hommes en regard des mesures d'atténuation du risque déployées à la suite des inondations de 2019 survenues en Chaudière-Appalaches
Poste actuel: Étudiante temps partiel - Le Beller, Julien (En cours) , Université du Québec à Rimouski
Date de début du diplôme de l'étudiant: 2019/1
Date prévue pour l'obtention du diplôme de l'étudiant: 2021/5
Description du projet: Gestion des risques en santé mentale dans le système de soins en regard des changements climatiques
Poste actuel: Étudiant temps complet
Doctorat
Directeur de recherche principal
- Typhaine Leclerc (En cours) , Université du Québec à Montréal
Date de début du diplôme de l'étudiant: 2020/9
Date prévue pour l'obtention du diplôme de l'étudiant: 2024/8
Description du projet: L’expression du vécu comme outils de rétablissement et de bien-être pour les sinistrés du climat: récit digital (digital storytelling) et analyse intersectionnelle (titre provisoire)
Poste actuel: Étudiante à temps complet
Autres activités
2018/10
- Membre du conseil d'administration, Qualaxia
- Membre du conseil d'administration où j'agis comme secrétaire. Qualaxia est un organisme de transfert de connaissance en santé mentale.
2016/12
- Représentante universités, Conseil des infirmières et infirmiers de Chaudière-Appalaches
- Représentante des institutions universitaires sur le comité élargi du CII du CISSS Chaudière-Appalaches.
2008/11
- Collectrice campagne annuelle, Centraide
- Participation à la collecte de fonds annuelle de Centraide UQAR-Campus de Lévis et grand donateur depuis 2008.
Expérience professionnelle
- 2008 - à ce jour -Professeure titulaire, , Département des Sciences de la santé (sciences infirmières), Université du Québec à Rimouski - (UQAR)
- 2007 - 2008 Professeure associée, Sciences infirmières, Lévis, Université du Québec à Rimouski - (UQAR)
- 2005 - 2008 Agente de planification, de programmation et de recherche sociosanitaire, Institut national de santé publique
- 2000 - 2006 Infirmière clinicienne, Centre de santé Innulitsivik
- 1998 - 2000 Infirmière clinicienne, Centre de santé d'Opitciwan (Obedjiwan)
- 1997 - 1998 Infirmière clinicienne, Centre Hospitalier Beauce-Etchemin
Affiliations
Centre de recherche du CISSS de Chaudière-Appalaches
- Chercheuse régulière Centre de recherche du CISSS de Chaudière-Appalaches
- Responsable de l’Axe « Besoins des communautés et études des contextes et territoires »
- 2017- à ce jour
Département communication publique et sociale, UQAM
- Professeure associée
- 2018-2023
Réseau de recherche sur les inondations du Québec (RIISQ)
- Chercheuse régulière
- 2020- à ce jour
Réseau Qualaxia
- Conseil d’administration (présidente depuis automne 2021)
- 2019- à ce jour
Réseau de recherche en santé des populations du Québec (RRSPQ)
- Chercheuse régulière
- 2015- à ce jour
Collectif de recherche sur la santé en région (CoRSeR)
- Chercheuse associée
- 2009 à ce jour
![]() | Marie-Hélène Morin, t.s., Ph.D. |
Formation
- Doctorat en service social (Ph.D), Université Laval, 2015
- Attestation d’études en pédagogie universitaire, « Le plaisir de faire apprendre », Faculté des sciences de l’éducation, Université Laval, 2010
- Maîtrise en service social (M.Serv.Soc.), Université Laval, 2008
- Baccalauréat en service social (B.Serv.Soc), Université Laval, 2003
- Techniques de travail social, Cégep de Rimouski, Rimouski, 2000
Intérêts de recherche
- Schizophrénie et troubles psychotiques
- Premiers épisodes psychotiques (PEP)
- Réadaptation et rétablissement en santé mentale
- Intervention familiale dans le champ de la santé mentale
- Approche collaborative entre les familles et les intervenants
- Expérience des membres de famille et des proches engagés dans un rôle de soutien
- Proches aidants en santé mentale
- Trajectoires de soins et de services en santé mentale
- Organisation des soins de santé et des services sociaux
- Services spécialisés en santé mentale
- Services de première ligne en santé mentale
- Enjeux de confidentialité et partage d’informations en santé mentale
Projets de recherche en cours et subventions
2020-2021- Prendre soin des proches aidants en contexte de Covid-19 : la situation des proches aidants (PA) qui soutiennent des personnes atteintes d’un trouble de santé mentale (TSM) ou d’un trouble du spectre de l’autisme (TSA) en milieu rural
- Recherche financée par la Chaire CIRUSSS (12 000$) et Fonds institutionnel de recherche (FIR) de l’UQAR (9 998$)
- Chercheur principal/cochercheurs : Marie-Hélène Morin (UQAR), Marie-Hélène Poulin (UQAT), Christiane Bergeron-Leclerc (UQAC), Lily Lessard (UQAR), Anne-Sophie Bergeron (UQAR) et Maryse Proulx (UQAR).
Les proches aidants occupent un rôle essentiel auprès des personnes vulnérables. Le contexte de pandémie augmente les besoins des personnes vulnérables, entre autres en raison d’un accès plus limité aux ressources formelles d’aide et de soutien. Ceci est particulièrement vrai en milieu rural où l’accès aux ressources spécialisées est souvent limité. Les proches aidants représentent ainsi un chaînon indispensable du système de santé en assurant une offre de soins et de services qui devraient autrement être pris en charge par le réseau de la santé et des services sociaux (RSSS), déjà fortement sollicité. Si, en temps normal, les proches aidants sont à risque de vivre de l’épuisement et de la détresse, la situation actuelle exige un soutien accru de leur part, qui est susceptible de fragiliser davantage leur propre état de santé physique et mentale, les rendant vulnérables à leur tour. Prendre soin des proches aidants est un projet de recherche qui s’intéresse à la santé physique et mentale des aidants qui prennent soin d’une personne atteinte d’un trouble de santé mental (TSM) ou d’un trouble du spectre de l’autisme (TSA). En effet, si ceux-ci ne sont plus en mesure de soutenir les personnes les plus vulnérables de notre société, qui pourra prendre le relais dans un contexte où les ressources formelles du RSSS sont prioritairement dédiées à gérer la crise sanitaire?
2020-2023 - Les conséquences à court, moyen et à long terme de la pandémie sur la santé bio-psycho-sociale et spirituelle des étudiants et employés œuvrant au sein des Universités du Québec
- Recherche financée par le Centre de recherche intersectoriel en santé durable (CISD) de l’UQAC (15 000$) et la Fédération québécoise des professeures et des professeurs d’Université (FQPPU) (10 000$)
- Chercheuses principales : Christiane Bergeron-Leclerc et Danielle Maltais (UQAC)
- Cochercheurs : Marie-Hélène Morin (UQAR), Jacques Cherblanc, Eve Pouliot et Jacinthe Dion (UQAC), Josée Grenier (UQO), Oscar Labra (UQAT), Andrée-Anne Marchand et Marie-Pier Vaillancourt-Morel (UQTR), Myriam Dubé (UQAM), Cathy Vaillancourt (INRS), Anne-Renée Gravel (TÉLUQ), Claudiane Ouellet-Plamondon (ÉTS) et Lara Maillet (ÉNAP).
Le Québec vit actuellement un moment historique, en raison de la crainte de la propagation de la COVID-19 au sein de la population. Déclarant l’urgence sanitaire, le Québec et l’ensemble des provinces canadiennes ont mis en place des mesures collectives qui se sont accentuées, puis adoucies et qui ont pris la forme : a) de la fermeture des établissements scolaires et des services non essentiels, b) de la distanciation sociale et c) du confinement. C’est dans l’optique de documenter les conséquences à court, à moyen et à long terme de la pandémie sur la santé globale des communautés universitaires qu’a été entreprise une étude regroupant plus d’une dizaine de chercheurs des différentes constituantes des UQ. Celle-ci vise les étudiants et tous les membres du personnel de l’ensemble du réseau des Universités du Québec. Par le biais d’un sondage en ligne, plus de 2750 personnes ont été questionnées, en avril-mai 2020, à propos de leur état de santé bio-psycho-socio-spirituelle. L’été 2020 sera consacrée à l’analyse et à la diffusion des résultats. Avant toute chose nous souhaitons que cette étude soit utile et éclaire la mise en place de mesures de soutien au sein des communautés universitaires.
2020 - 2025 « Ma vie et la pandémie au Québec » (MAVIPAN - Enquête longitudinale québécoise sur le bien-être et la santé mentale et la pandémie)
- Chercheurs responsables de l’étude : Annie LeBlanc (UL et Vitam, Centre de recherche en santé durable),Yves de Koninck (UL et CERVO), Marc Hébert (UL et CERVO), Jean-Pierre Després (UL et Vitam, Centre de recherche en santé durable), Catherine Mercier (UL et CIRRIS), François Routhier (UL et CIRRIS) et George Tarabulsy (UL et CIRRIS)
- Collaborateurs : Marie Baron (Vitam, Centre de recherche en santé durable), Patrick Blouin (Vitam, Centre de recherche en santé durable), Nancy Côté (UL et Vitam, Centre de recherche en santé durable), Émilie Dionne (Vitam, Centre de recherche en santé durable), Richard Fleet (UL et Vitam, Centre de recherche en santé durable), Matthew Menear (UL et Vitam, Centre de recherche en santé durable), Marie-Pier Déry (Vitam, Centre de recherche en santé durable), Marie-Pierre Gagnon, (UL et Vitam, Centre de recherche en santé durable), Holly Witteman (UL et Vitam, Centre de recherche en santé durable), Patrick Archambault (UL et Vitam, Centre de recherche en santé durable), Geneviève Roch (Vitam, Centre de recherche en santé durable et UL), Éric Gagnon ((UL et Vitam, Centre de recherche en santé durable), Antoine Groulx, (UL et Vitam, Centre de recherche en santé durable), Delphine Collin-Vézina (CRUJeF et McGill), MarieHélène Gagné (UL et CRUJeF), Marie-Christine Saint-Jacques (UL et CRUJeF), Danielle Nadeau (CRUJeF), Julie Tremblay (CRUJeF), Geneviève Dionne (CRUJeF), Marie-Claude Simard (CRUJeF), Annie Bérubé (CRUJeF et UL), Marc Hébert (UL et CERVO), Caroline Cellard (UL et CERVO), Maripier Isabelle (UL et CERVO), Chantal Mérette (UL et CERVO), Marc-André Roy (UL et CERVO), Claudia Savard (CERVO et UL), Martin Provencher (UL et CERVO), Annie Vallières (UL et CERVO), Marie-France Demers (UL), Pierre Marquet (UL et CERVO), François Routhier (UL et CIRRIS), Catherine Mercier (UL et CIRRIS), Marie-Christine Ouellet (UL et CIRRIS), Marie-Ève Lamontagne (UL et CIRRIS), Simon Beaulieu-Bonneau (UL et CIRRIS), Normand Boucher (CIRRIS), Michel Gilbert (Centre national d’excellence en santé mentale), Denis Lafortune (UdM), Lily Lessard (UQAR et SASSS Centre de recherche CA), Marie-Hélène Morin (UQAR), Édith St-Hilaire (CISSS-CA) et Luc Vigneault (patient partenaire)
Le projet de recherche porte sur les impacts psychologiques et sociaux de la pandémie COVID-19 sur la population de la région de la Capitale-Nationale et de ses environs. Le projet vise à donner une voix aux différentes communautés et acteurs de la Capitale-Nationale en documentant leur vécu et les impacts de la pandémie sur leur vie et leur santé. Il verra aussi à soutenir les établissements du réseau de la santé et des services sociaux dans le déploiement et l’organisation des services en temps de crise et, ultimement, à documenter les impacts de la pandémie actuelle et les stratégies d’adaptation auprès de la population, des familles, et de la communauté. De plus, il permettra au système de santé et des services sociaux de répondre adéquatement à d’éventuelles crises de nature équivalente.
2020-2023 - L'approche centrée sur la famille au profit des enfants de parents vivant avec un trouble mental : investigation et développement des pratiques en santé mentale adulte au Québec
- Recherche subventionnée par le Programme SAVOIR, CRSH (181 210$)
- Chercheur principal/cochercheurs : Geneviève Piché (UQO), Aude Villate (UQO), Marie-Ève Clément (UQO), collaborateurs : Andrea Reupert, Catherine Cyr-Villeneuve, Darryl Maybery, Line Leblanc, Louise Fournier, René Cloutier, Stéphane Richard-Devantoy.
Au Canada, le soutien à apporter aux Enfants de Parents vivant avec un Trouble Mental (EPTM), de l’enfance à l’entrée dans l’âge adulte, constitue désormais une priorité de santé publique. En effet, la présence d’un diagnostic de trouble mental chez un parent est un facteur de risque biologique et environnemental auquel entre 12 et 23% des enfants sont exposés chaque année à travers le monde. Ces enfants (EPTM) sont notamment à plus haut risque de vivre des difficultés sociales, scolaires, émotionnelles et de développer un trouble mental. Pour les soutenir, les écrits soulignent l’importance d’adopter une Approche préventive Centrée sur la Famille (ACF). Cette approche référant à l’implication des membres de la famille dans le cadre des suivis et soins usuels d’un parent atteint d’un trouble mental, est associée à d'importants bénéfices pour les utilisateurs de services et leurs familles, en termes de rétablissement, de risque de transmission des troubles mentaux du parent à l’enfant et de réduction du fardeau porté par les enfants. Au Québec, malgré les recommandations ministérielles et les données probantes appuyant une ACF, le peu d’informations disponibles ne nous permet pas de confirmer de quelle manière cette approche est mise en pratique dans les services en santé mentale. Selon une étude qualitative réalisée auprès de 106 participants rattachés aux services offerts aux familles de la région de Québec, l’accès à des pratiques centrées sur la famille semble limité. En effet, les membres des familles dont un parent a un trouble mental rapportent recevoir des services fragmentés ou en silo. Néanmoins, au-delà de ces informations, le champ de connaissances demeure lacunaire puisque aucune information quantifiable n’existe: (1) sur l’utilisation de pratiques de soutien envers des EPTM et leurs familles; (2) sur les facteurs qui y sont associés; (3) quant aux pratiques de soutien des professionnels de différents champs disciplinaires (ex., travail social, psychoéducation) en contexte québécois; (4) quant aux pratiques intersectorielles, c’est-à-dire la collaboration entre les professionnels de différentes disciplines, organismes, établissements et secteurs. Cette demande présente ainsi une programmation de recherche ayant pour but d’approfondir nos connaissances sur les pratiques centrées sur la famille en contexte de santé mentale adulte au Québec et de proposer un cadre destiné à soutenir l’adoption de telles pratiques.
2019-2022 Succès de collaboration entre les MD, IPSPL et autres professionnels de la santé et des services sociaux pratiquant dans les milieux de première ligne en région
- Recherche financée par le MEES dans le cadre du comité sur la collaboration interprofessionnelle et la décentralisation du doctorat en médecine de l’Université Laval Régions Chaudière Appalaches, Bas-Saint-Laurent, Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine, Côte
- Chercheur principal/Cochercheurs : Lily Lessard et Dave Bergeron (UQAR); Marie-Hélène Morin (UQAR), Dominique Perron, professionnel de recherche (UQAR), Jacynthe Dufour, IPS (CISSS-CA), Louise Bujold (UL), Dr. Olivier (GMF Rimouski), Jean Maziade (UL) et Dominique Perron, coordonnateur
L’objectif de cette étude est de repérer les succès de collaboration interprofessionnelle et les situations impliquant l’intervention de deux ou plusieurs types de professionnels de la santé et de services sociaux dans les milieux de première ligne (GMF) des régions éloignées des centres urbains dans le but de proposer des occasions de formation interprofessionnelle à la fois théorique et pratique aux futurs MD, IPSPL et les autres professionnels de la santé et des services sociaux, dont les infirmières et infirmiers cliniciens ainsi que les travailleuses et travailleurs sociaux et autres professionnels impliqués dans la prestation de soins et services directs.
2019-2020 - Implication des membres de l’entourage dans le processus de rétablissement d’une personne vivant un problème de santé mentale
- Projet financé par le CIUSSS Capitale Nationale (127 380$) et le MSSS (50 000$)
- Chercheur principal/cochercheurs : André Savoie, usager partenaire; Diane Harvey (AQRP); Ève Côté, (APUR); Marie-Dominique Rouleau, proche partenaire; Marie-Ève Leblond, (Cercle Polaire); Marie-France Allen (CIUSSS de la Capitale-Nationale); Marie-Hélène Morin (UQAR); Michèle Clément, (CERSSPL-UL, CIUSSS de la Capitale-Nationale); Pascale Lavoie, (CIUSSS de la Capitale-Nationale); René Cloutier, (RAC); Rodrigue Côté (CIUSSS de la Capitale- Nationale); Sandrine Rousseau (AQRP); Suzanne Péloquin, proche partenaire; Annie Levesque (CIUSSS de la Capitale-Nationale).
Le projet consiste à développer un guide clinique de bonnes pratiques pour soutenir l'implication des familles et des proches des personnes vivant un problème de santé mentale dans le processus de rétablissement de ces dernières. Ce guide :
- S'adressera aux intervenants œuvrant dans le domaine de la santé mentale au Québec;
- Se basera sur des connaissances issues d’une recension des écrits, des connaissances d’experts cliniciens dans le domaine et de groupes de consultation auprès d’acteurs-clés ;
- Sera élaboré dans une perspective de rayonnement sur le plan provincial.
2020-2021 : Vulnérabilités et santé mentale des populations rurales dans le contexte de COVID-19 : Développement d’outils d’évaluation et d’intervention et application à des groupes vulnérables en santé mentale, en autisme et leurs proches aidants
- Projet financé par le FRQS-MEI-MSSS (60 000$)
- Chercheur principal/cochercheurs : Marie-Hélène Morin (UQAR), Lily Lessard (UQAR), Marie-Hélène Poulin (UQAT), Geneviève Brisson (UQAR) et collaborateurs : Suzie Bond (TELUQ) Jean-Daniel Carrier (USherbrooke); Laurence Lépine (Croix-Rouge); Philippe Roy (USherbrooke) et Emmanuelle Bédard (UQAR), Anne-Sophie Bergeron (UQAR).
La pandémie liée à la COVID-19, et les mesures de santé publique qui l’accompagnent, mettent à l'épreuve les capacités d'adaptation des populations et ont des effets importants sur leur santé mentale. Des études récentes rapportent une augmentation inquiétante de la détresse psychologique, des symptômes anxieux et dépressifs et du stress dans la population générale, notamment celle des milieux ruraux ou habitant à l’extérieur des grands centres urbains. De plus, certaines populations cliniques spécifiques - dont les personnes qui ont un trouble de santé mentale (TSM) ou un trouble du spectre de l’autisme (TSA), de même que les proches aidants (PA) qui les soutiennent - sont davantage vulnérables aux effets de la pandémie sur leur santé mentale. Cette situation inédite requiert la mise en place rapide de solutions probantes et contextualisées afin de limiter ces différents impacts. Ce projet repose d’abord sur l’actualisation, à la situation de la Covid-19, de deux outils initialement développés dans le contexte de désastres d’envergure populationnelle au Québec : une grille de caractérisation des vulnérabilités des populations rurales et une boîte à outils d’interventions communautaires et cliniques pour prévenir ou réduire les impacts sur la santé mentale dans la population générale. Ces outils seront ensuite expérimentés en milieu rural, auprès des personnes présentant un TSM, un TSA et des PA qui les soutiennent afin d’apporter des réponses spécifiques aux effets de la pandémie sur ces groupes vulnérables.
2019-2024 - Co-titulaire et co-chercheuse principale de la Chaire interdisciplinaire sur la santé et les services sociaux en milieu rural
- Chaire financée par le CISSS du Bas-Saint-Laurent, le CISSS de Chaudière-Appalaches et TELUS
- Financement : 1,2 Millions sur 5 ans
- Responsables de la Chaire et co-chercheuses principales : Marie-Hélène Morin (UQAR) et Lily Lessard (UQAR)
Les territoires des régions de Chaudière-Appalaches et du Bas-Saint-Laurent sont majoritairement ruraux et près de 40% de leur population y habite. La ruralité est toutefois encore difficile à définir, celle-ci étant souvent reléguée à une réalité unique, statique voir même folklorique ou simplement ce qui n’est pas urbain. Pourtant, le portrait de la ruralité au Québec doit être considéré comme une mosaïque complexe, riche et évolutive. Cette méconnaissance des forces et des nouveaux défis rencontrés par les populations rurales peut être à l’origine d’inégalités sociales et de santé vis-à-vis les milieux plus densément peuplés. « Les inégalités sociales de santé sont ces écarts, pourtant évitables, entre hommes et femmes, entre groupes socio-économiques et entre territoires, qui ont un impact sur de nombreux aspects de la santé des populations. » (Centre Léa-Roback, 2007). La Chaire a pour mission de devenir une référence en matière de recherches portant sur la santé et les services sociaux en milieu rural. Dans une perspective de proximité avec les acteurs des milieux ruraux et les partenaires des CISSS du Bas-Saint-Laurent et de Chaudière-Appalaches, elle vise à apporter des réponses innovantes et adaptées aux enjeux sociaux et de santé rencontrés par les personnes, les familles, les groupes et les communautés rurales. La vision de la Chaire repose sur une représentation contemporaine de la ruralité au Québec. Celle-ci s'appuie sur la conviction que les communautés rurales détiennent les compétences nécessaires pour agir sur les enjeux liés aux services sociaux et à la santé qu'elles rencontrent. Cette vision reconnaît la diversité des communautés rurales et des réalités vécues par les acteurs (personnes, familles, milieux institutionnels, communautaires et municipaux) ainsi que la nécessité de développer, de manière collaborative, des réponses scientifiques adaptées à ces réalités pour améliorer les modèles d’organisation des services et les pratiques professionnelles dans les domaines de la santé et des services sociaux.
2019-2022 - Co-chercheuse et directrice-adjointe (volet sciences sociales) du Réseau intersectoriel de recherche en santé de l’Université du Québec (RISUQ)
- Réseau financé par les Grandes initiatives Réseau en santé et services sociaux (GIR-SSS) Financement : 250 000$/année
- Comité de direction du RISUQ : Cathy Vaillancourt (INRS), Directrice, Marie-Hélène Morin (UQAR), Directrice-adjointe (Sciences sociales), Martin Descarreaux (UQTR), Directeur-adjoint (Sciences cliniques) et Benoit Barbeau (UQAM), Directeur-adjoint (sciences fondamentales/naturelles)
- Comité Scientifique : Marc Germain (UQTR), Responsable de l’axe biomédical, Nicole Ouellet (UQAR), Responsable de l’axe organisation des soins de santé et des services sociaux (OSSS), Dave Saint-Amour (UQAM), Responsable de l’axe neurosciences cognitives et santé mentale, Louis-David Beaulieu (UQAC), Responsable de l’axe mouvements et saines habitudes de vie, Catherine Laprise (UQAC), co-responsable de l’axe biomédical, France Gagnon (TELUQ), co-responsable de l’Axe OSSS, Daniel Fiset (UQO), co-responsable de l’axe neurosciences cognitives et santé mentale
Le Réseau intersectoriel de recherche en santé de l’Université du Québec (RISUQ) souhaite contribuer au mieux-être des communautés dans une perspective interdisciplinaire et intersectorielle où la recherche, l’innovation et la mobilisation des connaissances sont utilisées pour répondre aux enjeux prioritaires de santé et de services sociaux des différentes collectivités sur tout le territoire du Québec. Les objectifs visés sont de :
- Déployer nos expertises en santé pour l’obtention de données scientifiques probantes visant à favoriser le mieux-être et la santé pour les différentes populations urbaines et rurales du Québec, avec une sensibilité à l’égard des personnes en situation de vulnérabilité et l’équité de genre;
- Déployer une programmation scientifique qui catalyse une formation intersectorielle unique, dynamique et attractive, alliant les approches fondamentales, sociales et cliniques dans un souci commun d’amélioration de la santé des populations sur tous les territoires du Québec, tout en portant une attention particulière à la rétention de la relève en santé et en services sociaux formée en région;
- Développer la recherche interdisciplinaire et intersectorielle, centrée sur les préoccupations et les priorités régionales en matière de santé et de services sociaux, dans un continuum d’éducation, de prévention, de dépistage et d’estimation du risque, lesquels conduisent vers des actions personnalisées, curatives ou de soutien;
- Développer des outils innovants, centrés sur le principe d’un maintien du mieux-être et de la santé à travers le temps et les générations sur l’ensemble du territoire québécois et ce, en tenant compte d’une utilisation responsable des ressources tant financières, que sociales et environnementales.
2019-2021 - Partage d’informations et respect de la confidentialité : enjeux pour l’établissement de pratiques collaboratives entre des proches aidants, des professionnels et des personnes utilisatrices de services en santé mentale
- Recherche subventionnée par le Conseil de recherche en sciences humaines du Canada (CRSH) - Programme Développement Savoir
- Financement : 66 109$ sur 2 ans
- Chercheuse principale : Marie-Hélène Morin (UQAR)
- Co-chercheurs : Marc-André Roy (IUSMQ), Sophie Éthier (Université Laval)
- Collaborateurs : Julie Bouchard et Claudia Lévesque (IUSMQ), Michel Gilbert (CNESM), Michel T. Giroux (ICRED), Mary Ann Levasseur, Diane Riendeau et Sylvie Boileau (IUSMM, Douglas), Luc Vigneault (Université Laval), Anne-Sophie Bergeron (UQAR), Annik Moreau (Université Laval).
Le rôle de soutien exercé par les membres de l’entourage, de même que la collaboration entre les proches aidants et les professionnels, jouent un rôle déterminant dans le pronostic et le rétablissement de la personne présentant un trouble mental. Par contre, l’établissement de pratiques collaboratives entre les proches aidants et les équipes d’intervention se heurte à des enjeux de confidentialité, plus particulièrement lorsqu’il est question de partager des informations entre les acteurs concernés. Dans ce contexte, il est important de s’attarder aux éléments concrets qui font obstacles au partage d’informations et d’apporter des recommandations afin d’améliorer les pratiques collaboratives entre les proches aidants et les professionnels en santé mentale. L’objectif de cette recherche est donc d’identifier les enjeux liés au partage d’informations et au respect de la confidentialité à partir de la perspective croisée des proches aidants, des professionnels et des utilisateurs de services en santé mentale. À partir de ces perspectives croisées, les objectifs spécifiques suivants sont visés: (1) Documenter l’expérience des acteurs concernant le partage d’informations dans le contexte de l’utilisation de services en santé mentale; (2) Décrire comment s’obtient le consentement à partager des informations au sujet de la personne atteinte et de son traitement; (3) Effectuer un inventaire des protocoles d’entente encadrant le partage d’informations sur le plan légal et décrire ce qu’ils contiennent; (4) Documenter les facteurs qui favorisent le partage d’informations entre les acteurs et ceux qui font obstacles à la transmission d’informations; (5) Dégager des solutions concrètes pour favoriser le partage d’informations en respectant le contexte légal dans les pratiques en santé mentale. Des entrevues individuelles semi-dirigées seront réalisées dans un premier temps, dans deux régions distinctes, soit Bas-Saint-Laurent et Capitale-Nationale, auprès de proches aidants (n=10)/région et de professionnels de la santé (n=12/région). Dans un deuxième temps, des entrevues de groupe seront menées dans ces deux mêmes régions, auprès des personnes utilisatrices de services en santé mentale (n=8/région). Les résultats de l’étude contribueront à enrichir les connaissances et à approfondir l’analyse des enjeux de confidentialité dans les pratiques du domaine de la santé et des services sociaux. Les recommandations générées au terme de cette étude seront applicables dans différents champs disciplinaires et domaines d’intervention.
2017-2021 - Les trajectoires de services de proximité et spécialisés empruntées par des jeunes adultes et des proches aidants lors d’un premier épisode psychotique (PEP).
- Recherche subventionnée par le Fonds de recherche du Québec -Société et culture
(FRQ-SC), Programme Établissement de nouveaux professeurs-chercheurs, (49 929 $). - Chercheur principal/cochercheurs : Marie-Hélène Morin (UQAR), Catherine Turbide, auxiliaire de recherche (UQAR) ; Maryse Proulx, auxiliaire de recherche (UQAR).
- Descriptif du projet :
Malgré une volonté politique et sociale de reconnaître le rôle de soutien exercé par les proches aidants, des lacunes et des insatisfactions demeurent observables quant aux services s’adressant aux familles engagées dans ce rôle de soutien. Cela est d’autant plus vrai lors d’un premier épisode psychotique (PEP) qui survient généralement au passage à la vie adulte en touchant de 4 à 5 % des jeunes. En s’appuyant sur la perspective théorique des parcours de vie, l’objectif principal de cette étude est de documenter la trajectoire de services empruntée lors de l’émergence d’un trouble psychotique. Les quatre objectifs suivants sont visés : (1) mieux connaître comment a été initiée la demande d’aide lors du PEP; (2) identifier les services de proximité et spécialisés utilisés par les jeunes adultes et leurs proches aidants; (3) documenter les principaux obstacles rencontrés sur le plan du partage d’information et de la confidentialité et, (4) dégager l’impact du recours aux services sur la diminution de la détresse et du besoin de soutien des familles. Une démarche de recherche qualitative sera utilisée. Des entrevues semi-dirigées seront menées auprès de jeunes adultes (n =20) et de leurs proches aidants (n= 20) alors que deux entrevues de groupe seront réalisées auprès des intervenants (n = 20) des associations de famille et des cliniques pour premiers épisodes psychotiques. En documentant les trajectoires de soins, cette étude contribuera à optimiser le maillage entre les services de proximité et les services spécialisés, en plus de dégager des pistes de solutions afin d’établir des réelles pratiques collaboratives. Cela aura des retombées concrètes pour l’intervention offerte à la fois par les associations de familles et les cliniques qui dispensent des services lors d’un PEP.
2018-2019 - Développement de l’axe « organisation des soins et des services en santé sur les territoires » dans le cadre d’une demande d’infrastructure pour un Centre de recherche FQRS-UQ.
- Recherche subventionnée par les Fonds de développement académique du réseau (FODAR) de l’Université du Québec, (17 500 $).
- Chercheur principal/cochercheurs: Marie-Hélène Morin (UQAR) et Christian Guillemette, auxiliaire de recherche (UQAR)
- Descriptif du projet :
Dans le cadre de la grande initiative réseau en santé et services sociaux (GIR-SSS), en conformité avec le plan de développement stratégique de cette initiative, plus particulièrement en lien avec l’objectif 2.1 Élaborer une programmation scientifique RUQ en santé et services sociaux et le sous-objectif 2.1.1 Offrir un soutien financier aux principaux groupes ou regroupements qui vont s’investir dans l’émergence de la programmation scientifique, contribution à l’élaboration d’une demande de soutien aux infrastructures auprès du Fonds de recherche du Québec - Santé (FRQ-S) pour un centre de recherche intégré en santé de l’Université du Québec (CRISUQ). Je suis particulièrement porteuse de l’axe Organisation des soins et services sociaux sur les territoires dans le cadre de cette démarche visant à définir l’axe de recherche dans la demande d’infrastructure.
2017-2018 - Validation et diffusion des résultats relatifs à l’inventaire des pratiques québécoises en intervention familiale lors d’un premier épisode psychotique (PEP).
- Recherche subventionnée par les Fonds institutionnels de recherche (FIR), (9 996 $).
- Chercheur principal/cochercheurs : Marie-Hélène Morin (UQAR), Amal Abdel-Baki (AQPPEP), Marc-André Roy (AQPPEP), Hélène Fradet (Réseau avant de craquer) et Maryse Proulx (UQAR).
- Descriptif du projet :
Le plan d’action en santé mentale 2015-2020 du gouvernement du Québec intitulé « Faire ensemble et autrement » réitère l’importance de « reconnaître, favoriser et soutenir l’implication des membres de l’entourage » dont on dit qu’ils constituent bien souvent « la principale source de soutien et d’hébergement des personnes atteintes de maladies mentales » (MSSS, 2015, p.18). Dans cette perspective, un inventaire des pratiques en intervention familiale qui s’exercent actuellement dans les associations de familles et dans les cliniques spécialisées dans le traitement d’un premier épisode psychotique (PEP) a été réalisé en 2017. L’objectif était de décrire de façon quantitative l’offre de service actuelle à laquelle peuvent avoir recours les membres de l’entourage lors de l’émergence d’un trouble psychotique, de documenter les pratiques en intervention familiale sur le plan notamment des activités cliniques et des approches utilisées et d’analyser comment s’inscrit l’offre de services actuelle dans le modèle de soins familiaux proposé par Mottaghipour et Bickerton (2005). La présente recherche s’inscrit en continuité avec cette première étude puisqu’elle vise dans un premier temps à : 1) valider les résultats obtenus en phase I via une étude qualitative (groupes de discussion), puis dans un deuxième temps à 2) procéder au transfert des connaissances vers les principaux utilisateurs, soit les associations de familles et les cliniques spécialisées lors d’un PEP (conférences et tables rondes). Ces étapes de validation et de transfert de connaissance constituent des étapes essentielles afin de maximiser les retombées de l’étude et favoriser une réelle application des connaissances par les associations de familles membres du Réseau avant de craquer et par les cliniques PEP membres de l’AQPPEP.
2016-2017 - Inventaire des pratiques québécoises en intervention familiale lors d’un premier épisode psychotique (PEP).
- Recherche subventionnée par les Fonds institutionnel de recherche (FIR), (9 982 $).
- Chercheur principal/cochercheurs : Marie-Hélène Morin (UQAR), Amal Abdel-Baki (AQPPEP), Marc-André Roy (AQPPEP), Hélène Fradet (Réseau avant de craquer) et Maryse Proulx (UQAR).
- Descriptif du projet :
L’intervention familiale est désormais reconnue comme étant essentielle lors de l’émergence d’un trouble psychotique. Ce type d’intervention a un effet favorable sur l’état de la personne atteinte de même que sur le fonctionnement des familles. Au Québec, on tarde toutefois à disséminer ces bonnes pratiques autant dans les services de proximité que dans les services spécialisés s’adressant aux familles. En s’appuyant sur la pyramide des soins familiaux (Mottaghipour et Bickerton, 2005), l’objectif principal de cette étude est de dresser un inventaire des pratiques en intervention familiale qui s’exercent actuellement dans les associations de familles et dans les cliniques spécialisées dans le traitement d’un premier épisode psychotique (PEP). Les objectifs spécifiques suivants sont visés par cette étude : (1) Décrire l’offre de services actuelle à laquelle peuvent avoir recours les membres de la famille et les personnes atteintes d’un trouble psychotique en début d’évolution ; (2) Documenter les pratiques en intervention familiale sur le plan notamment des activités cliniques et des approches utilisées ; (3) Analyser comment s’inscrit l’offre de services actuelle dans le modèle de soins familiaux proposé par Mottaghipour et Bickerton (2005). Une démarche de recherche quantitative sera utilisée. Un questionnaire électronique sera acheminé aux associations de familles (n= 20) et aux cliniques spécialisées (n= 10) qui auront manifesté le souhait de participer. En dressant un inventaire des pratiques actuelles, cette étude contribuera à optimiser l’offre de services offerte aux familles, tout en ayant des retombées concrètes pour l’intervention familiale dispensée à la fois par les associations de familles et les cliniques spécialisées lors d’un PEP.
2016-2018 - De l’individu à la communauté : la pratique du travail social en santé mentale. Repères théoriques et pratiques.
- Recherche subventionnée par :
- Bourse annuelle d’aide à la publication de l’OTSTCFQ (5 000 $);
- Politique de diffusion des travaux de recherche, volet aide à la publication C2-D16 (UQAR) (2 300$);
- Réseau de l’Université du Québec (Fonds de développement académique du Réseau de l’Université du Québec (FODAR), (1 343, 80$).
- Chercheur principal/cochercheurs : Christiane Bergeron-Leclerc (UQAC); Marie-Hélène Morin (UQAR), Bernadette Dallaire (UL); Cécile Cormier (UQAR) et Annie Lévesque.
- Descriptif du projet :
Production d’un ouvrage collectif pouvant servir de manuel pédagogique pour le cours Santé mentale, fonctionnement social et problèmes sociaux. Projet d’édition a été accepté par les Presses des Universités du Québec (PUQ), parution prévue en 2018. Mise en contexte du livre : De la désinstitutionalisation jusqu’à nos jours, la pratique du travail social dans le champ de la santé mentale s’est transformée. D’une pratique individuelle, quasi-exclusivement intra-hospitalière, nous sommes passés à des modalités des plus diversifiées, alliant différentes méthodes, approches et contextes d’intervention. De surcroît, le travail social dans le champ de la santé mentale dépasse maintenant les frontières des organisations formellement identifiées à ce domaine. C’est ainsi que des travailleurs sociaux œuvrant dans tous types de contextes (ex. : protection de la jeunesse, violence conjugale) sont quotidiennement en situation d'intervention auprès de personnes ayant des troubles mentaux, diagnostiqués ou non et dont la gravité varie. La complexité de l’intervention auprès de ces personnes découle non seulement du trouble lui-même, mais également de ses répercussions (ex. autostigmatisation, itinérance, isolement social, pauvreté) ou de la présence d’autres problèmes associés (ex. toxicomanie). Ce cumul de difficultés et leurs interactions ont des impacts sur le recouvrement du fonctionnement social et le rétablissement des personnes. Devant cette réalité, les travailleurs sociaux doivent disposer d'un large éventail de connaissances et de compétences pour intervenir. Cet ouvrage, qui s'adresse tant aux étudiants qu'aux professionnels en exercice, vise donc à fournir des outils conceptuels et pratiques adaptés aux particularités de l'exercice du travail social dans le champ, désormais multiforme, de la santé mentale.
2014-2018 - L'identité professionnelle des travailleurs sociaux de troisième ligne psychiatrique selon la vision des intervenants en santé mentale du réseau institutionnel et communautaire.
- Recherche subventionnée par les fonds de recherche de la chercheure principale.
- Chercheur principal/cochercheurs : Marie-Hélène Morin (UQAR) chercheure principale, Anne-Catherine Darveau (IUSMQ), Annabelle Leclerc (IUSMQ), Isabelle Fillion (IUSMQ), Karine Gaudreault (IUSMQ), Karl Turcotte (IUSMQ), Nadia Veilleux (IUSMQ) et Audrey Bernard (UL).
- Descriptif du projet :
Recherche collaborative réalisée à partir de l’initiative d’un sous-comité de recherche composé d’une dizaine de travailleurs sociaux de l’Institut universitaire en santé mentale de Québec (IUSMQ). L’objectif de cette étude est de définir l’identité professionnelle et les pratiques professionnelles des travailleurs sociaux de 3e ligne psychiatrique selon la vision des intervenants en santé mentale œuvrant en CSSS et en milieu communautaire. Plus spécifiquement, cette recherche vise à : (1) Décrire les pratiques (types d’interventions, activités cliniques, rôles, tâches) spécifiques aux travailleurs sociaux de 3e ligne psychiatrique; (2) Dégager les attentes des intervenants en santé mentale par rapport aux pratiques des travailleurs sociaux en 3e ligne psychiatrique et, (3) Identifier les facteurs qui facilitent et entravent la collaboration entre les intervenants sociaux de la première ligne en santé mentale et les travailleurs sociaux de la 3e ligne psychiatrique.
2005-2015 - S’adapter lors du premier épisode psychotique d’un jeune adulte : perspectives nouvelles pour les parents et les pratiques collaboratives dans le domaine social en santé mentale.
- Recherche subventionnée par :
- Bourse de doctorat du Fonds québécois de recherche sur la société et la culture (FQRSC) (60 000 $)
- Boursière de l’UQAR, Politique d’aide financière à des candidates et candidats éventuels à des potes de professeure ou de professeure (C3-D60) (27 000$)
- Bourse d’excellence au doctorat, fonds facultaire d’enseignement et de recherche (FFER), Faculté des sciences sociales, Université Laval (12 000$)
- Bourse d’appui aux études graduées, Fonds Simone-Paré, Faculté des sciences sociales, Université Laval (2 000$)
- Bourse de doctorat de l’OPTSQ, ordre professionnel des travailleurs sociaux du Québec (1 000$)
- Bourse de doctorat La Personnelle, Assurances générales La Personnelle (500 $)
- Bourse d’excellence aux études supérieures, Fonds Georgette Béliveau, Faculté des sciences sociales, Université Laval (2 000 $)
- Chercheur principal/cochercheurs: Marie-Hélène Morin (UQAR), Myreille St-Onge (U.Laval).
- Étude doctorale réalisée auprès de 58 parents qui ont reçu des services à la Clinique Notre-Dame des Victoires (CNDV) de l’Institut universitaire en santé mentale de Québec (IUSMQ), une clinique spécialisée dans le traitement des premières psychoses. Cette recherche est basée sur une méthodologie mixte (quantitative et qualitative). L’objectif principal est de dégager les facteurs qui prédisent d’adaptation des parents et des beaux-parents qui exercent un rôle de soutien pour leur enfant d’âge adulte atteint d’un premier épisode psychotique (PEP). Un objectif complémentaire est de documenter la relation de collaboration entre les familles et les travailleuses sociales.
Supervision d'étudiants de cycles supérieurs
Codirection
- Brouillette, Christel, maîtrise en sciences de la santé, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (2019-2021)
Stéphane Grenier, UQAT, directeur de recherche
Marie-Hélène Morin, UQAR, codirection - Moreau, Annik, doctorat en service social, École de travail social et de criminologie, Université Laval
Bernadette Dallaire, Université Laval, directrice de recherche
Sophie Éthier, Université Laval, membre du comité de thèse
Marie-Hélène Morin, UQAR, membre du comité de thèse - La Rue, Ève, maîtrise en science de l’éducation, département des fondements et pratiques en éducation (2017-2018).
Marianne Olivier-D’Avignon, Université Laval, directrice de recherche.
Marie-Hélène Morin, UQAR, codirection de recherche.
Évaluation de mémoires et de thèses
- Leclerc Annabelle, maîtrise en service social, Université Laval (2017). Bernadette Dallaire, Université Laval, directrice de recherche.
- Moreau, Anik, doctorat en service social, Université Laval. (2017). Bernadette Dallaire, Université Laval, directrice de recherche
- Poirier Hélène, maîtrise en travail social, (UQAC). Christiane Bergeron-Leclerc, UQAC, directrice de recherche.
- Vaillancourt, Madeleine, maîtrise en travail social, UQAC (2011). Christiane Bergeron-Leclerc, UQAC, directrice de recherche.
Direction de numéros thématique revues
- 2019-2020 - Codirection d’un numéro thématique de la Revue Intervention « Regards sur la diversité des visages de la proche aidance en 2020 ». Ordre des Travailleurs sociaux et des thérapeutes conjugaux du Québec (OTSTCFQ)
Évaluatrice externe pour des revues
- 2018 Évaluation d’un article pour la revue Qualitative Health Research (facteur impact 2.036)
- 2014 Santé mentale au Québec
- 2011 Évaluatrice du cadre de référence sur l’évaluation psychosociale pour Ordre de travailleurs sociaux et des thérapeutes conjugaux et familiaux du Québec (OTSTCFQ)
- 2011 Évaluation du chapitre sur l’évaluation psychosociale qui fera partie de l’ouvrage « Méthodologie de l’intervention individuelle ».
- 2010 Évaluatrice de deux textes pour les Actes officiels du 32e Symposium international sur le travail social de groupe.
- 2009 Évaluatrice externe, Revue canadienne de santé mentale communautaire
Autres activités
Activités du secteur public
- Membre du comité d’experts pour l’élaboration de la première politique nationale pour les personnes proches aidantes au Québec (MSSS) (2018- à ce jour)
- Consultante pour l’Association québécoise des programmes pour premiers épisodes psychotiques (AQPPEP) (2010 à ce jour)
- Administratrice au sein du conseil d’administration du Centre de réadaptation en déficience intellectuelle et troubles envahissants du développement du Bas-St-Laurent (CRDITED) (2013-2015)
Comités institutionnels
- Comité d’éthique de la recherche de l’UQAR, CÉRUQAR (2017 à 2020 et 2013 à 2015). Participation aux séances régulières du comité ; Membre du sous-comité d’évaluation délégué (SCED).
- Comité de travail sur le développement de la maîtrise en travail social à l’UQAR
- Comité institutionnel d’évaluation par les pairs et au Comité d’éthique de la recherche de l’UQAR (CÉRUQAR) (2013-2015)
Conseil de module
- Représentante des professeurs (2012-2013)
- Codirection et direction du module (2017-2019)
Organisation d’événements
- Responsable de colloque, Congrès de l’ACFAS 2020 - Colloque 646 « Les enjeux liés au développement de la recherche intersectorielle en santé et services sociaux sur le territoire Québécois : le cas du Réseau intersectoriel de recherche en santé de l'Université du Québec (RISUQ) »
- Responsable de colloque, Congrès de l'ACFAS 2015 - Colloque 426 « Sortir du cadre : pour une vision inclusive des acteurs et des services de la première ligne en santé mentale », Conférences, 2014 – 2015
- Formatrice en intervention familiale dans le contexte des premières psychoses- Réseau avant de craquer (RAC) (2007 à ce jour)
- Conférencière et formatrice en intervention familiale pour l’AQPPEP, soutien aux intervenants du Bas-St-Laurent (2006 à ce jour)
- Professeure, Colloque des finissants et des finissantes en travail social de l'UQAR, Conférences, 2011, 2013, 2014
- Membre du comité organisateur et animatrice, Semaine de sensibilisation aux maladies mentales, Conférences, 2009 – 2010
- Responsable de colloque - Colloque étudiant du Centre de recherche sur l’adaptation des jeunes et des familles à risque (JEFAR), « La complémentarité de la recherche et de l’intervention : L’union fait la force ! », Université Laval, 2006
Administration pédagogique
- Codirection et direction du module en Travail social (2017-2019)
- Responsable de la formation pratique (2012-2017)
- Représentante des professeurs au conseil de module (2012-2013)
Expérience professionnelle
Professeure en travail social
- 2010 - à ce jour - Département de travail social, Université du Québec à Rimouski - (UQAR)
Formatrice
- 2010 - Centre de santé et de service sociaux Rimouski-Neigette (CSSS-R), Programme RAP
- 2009 - Centre hospitalier universitaire de Montréal (CHUM), Clinique Jeunes Adultes - Psychotiques (Clinique JAP)
- 2008 - Institut universitaire en santé mentale de Québec, Centre hospitalier Robert - Griffard
- 2008 - Fédéretion des familles et des amis de la personne atteinte de la maladie mentale (FFAPAMM)
Travailleuse sociale
- 2006-2009 - Institut universitaire en santé mentale de Québec, Clinique Notre-Dame des Victoires (CNDV), programme des troubles psychotiques
- 2003-2007 - Centre de santé et de services sociaux (CSSS) de la Vieille-Capitale, Québec. CLSC Haute-Ville des Rivières, services courants, AÉO social.
Intervenante sociale
- 2003-2006 - Centre de santé et de services sociaux (CSSS) de la Vieille-Capitale, Québec. - Centre d’hébergement et de soins de longue durée, CHSLD St-Antoine
- 2000-2003 - CLSC Rimouski-Neigette, service courant (AÉO) social, équipe 24/7 (urgence sociale et soutien à domicile (SAD)
Chargée d’enseignement
- 2007- Unité de formation en travail social, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) - Titre du cours : L’intervention auprès des familles en travail social, 4SVS109, groupe 02.
Chargée de sessions cliniques
- 2007-2009 Faculté de médecine, Département de psychiatrie, Université Laval
Communication aux étudiants
- 2005-2007 Unité de formation en travail social, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC)
Affiliations
Collectif de recherche sur la santé en région (CoRSeR)
- Chercheur associé
- 2017- à ce jour
La lueur de l’espoir du Bas-Saint-Laurent Inc
- Consultante dans le développement des pratiques en intervention familiale, notamment en apportant ma contribution au développement du programme ALLIANCE.
- 2011 - à ce jour
Association québécoise pour la réadaptation psychosociale (AQRP)
- Membre du Comité d’édition de la revue Le Partenaire, la seule revue de langue française spécialisée en réadaptation psychosociale et rétablissement en santé mentale. Participation à la planification des numéros de la revue (déterminer les thèmes et les orientations des numéros, proposer des contenus) et effectuer le suivi des numéros (réviser le contenu des textes, évaluer les propositions d’articles, valider le contenu et participer ponctuellement à la rédaction de textes).
- 2008 - à ce jour
Fédération des familles et amis de personnes atteintes de maladie mentale (FFAPAMM) / Réseau avant de craquer
- Formatrice en intervention familiale dans le contexte des premières psychoses
conférencière-invitée dans le cadre du colloque annuel de la Fédération ou de la Semaine nationale de sensibilisation aux maladies mentales. - Membre des comités de certification.
- 2007 – à ce jour
International early psychosis association (IEPA)
- Membre
- 2006 – à ce jour
Association québécoise des programmes pour premiers épisodes psychotiques (AQPPEP)
- Membre de l’AQPPEP, consultante et formatrice en intervention familiale pour les programmes-cliniques membres de cette association, soutien aux intervenantes du Bas-St-Laurent.
- Représentante des milieux de formation
- Conférencière
- Membre du sous-comité de formation continue
- 2006 – à ce jour
Ordre professionnel des travailleurs sociaux du Québec (OPTSQ)
- Membre
- 2003- à ce jour
Groupe de recherche sur l’inclusion sociale, l’organisation des services et l’évaluation en santé mentale GRIOSE-SM)
- Membre-chercheure associée, participation aux assemblées de chercheurs et aux séminaires organisés par le Groupe. Élaboration de collaboration de recherche.
- Diffusion des invitations aux séminaires aux étudiants du module de travail social en donnant accès à ces séminaires par visioconférence à l’UQAR.
- 2014 -2016
Centre de réadaptation en déficience intellectuelle et troubles envahissants du développement du Bas-Saint-Laurent (CRDITED)
- Administratrice au sein du conseil d’administration
- Comités d’évaluation annuelle de la Directrice générale (DG) et du Commissaire local aux plaintes et à la qualité des services (CLPQS)
- Comité de sélection du Directeur des services professionnels et de la recherche (DSPR).
- 2011-2015
Réseau Qualaxia
- Bloggeuse et responsable du dossier « Le rôle de soutien des membres de la famille», participation ponctuelle à la rédaction de d’éditorial-blogues et d’articles.
- Veille régulière afin d’alimenter les publications et les actualités du dossier, recrutement d’auteurs et de contributeurs, activités de concertation avec les coordonnatrices du Réseau Qualaxia.
- 2012-2013
Étudiants
Étudiants aux cycles supérieurs
Nom et programme | Thème de la recherche | |
![]() | 2020-2023 Nicole Héon, Maîtrise en travail social, UQAR | L'approche de la bientraitance auprès des personnes ainées dans la pratique des travailleurs sociaux qui œuvrent au soutien à domicile du Bas-Saint-Laurent. |
![]() | 2020-2022 | Analyse géographique de la vulnérabilité et des inégalités sociales en lien avec la santé mentale et le bien-être psychosocial de la population québécoise exposée à des événements météorologiques extrêmes. |
![]() | 2020-2023 Joanie Turmel (TP), Maîtrise en travail social, UQAR | Impacts psychosociaux et stratégies adaptatives des hommes en regard des mesures d'atténuation du risque déployées en contexte de changement climatique en Chaudière-Appalaches |
![]() | 2020-2022 Camille Bisson-Cauchon, Maitrise sciences infirmières (TC), UQAR | Expériences de soins des hommes vivant en milieu rural lors des transferts d’urgence vers CH pour une condition urgente pouvant menacer la vie et du retour vers sa communauté |
![]() | 2019-2021 Julien Le Beller, Maîtrise en gestion de projet (TC), UQAR | La gestion des risques induits par les changements climatiques dans le secteur de la santé mentale : une revue systématique de la littérature |
![]() | 2020-2024 Typhaine Leclerc, Doctorat santé et société (TC), UQAM | Expression du vécu comme moyen pour favoriser la santé mentale, le rétablissement et les bien-être des personnes exposées aux EME dans un contexte de changements climatiques |
![]() | 2019-2023 Simon Turcotte, Doctorat en sciences urbaines de L'INRS Direction : Marie-Soleil Cloutier (INRS) Codirection : Éric Guibert (ULAVAL) | Thématique de la spatialisation des inégalités sociales. Le projet de thèse porte plus spécifiquement sur l’étude des stratégies d’adaptation et d’atténuation des effets des vagues de chaleur extrême. |
![]() | 2020-2023 Sophie Gagnon, Maîtrise en travail social, UQAR | L'accessibilité aux services spécialisés en troubles des conduites alimentaires dans la région du Bas-Saint-Laurent |
![]() | 2020-2024 | Les déterminants de la résilience familiale des familles des militaires canadiens: comprendre pour agir de façon préventive et améliorer les pratiques. |
![]() | 2021-2024 | Le sens accordé à l'expérience vécue par les familles vivant en contexte de vulnérabilité et les intervenant(e)s dans le cadre d'un suivi psychosocial en Chaudière-Appalaches |
2021-2024 Marie-Hélène Ferguson Maîtrise en travail social, UQAR | Les barrières à l'accès aux services en santé mentale jeunesse au Nouveau-Brunswick. |
Agents de recherche et de transfert de connaissances
![]() | Maryse ProulxÉtudiante à la maîtrise en éducation (UQAR) et titulaire d’un baccalauréat en travail social de l’Université Laval (2005), Maryse Proulx est professionnelle de recherche dans l’équipe de Marie-Hélène Morin depuis 2017. Elle possède une expérience clinique, à titre de travailleuse sociale, acquise principalement dans le milieu hospitalier du réseau de la santé et des services sociaux. |
![]() | Claudia LafondClaudia est travailleuse sociale dans le réseau de la santé et des services sociaux depuis 2018. Elle détient une expérience clinique auprès des jeunes et des familles en situation de vulnérabilité. Dans le cadre de sa maîtrise en travail social obtenu à l'Université Laval en 2018, elle a mis sur pied une intervention de groupe visant à soutenir les hommes dont la conjointe était atteinte d'un cancer du sein localisé. Elle est actuellement impliquée dans le projet '' Réadaptation et cancer du sein : mieux comprendre les besoins, les attentes et les expériences des femmes ayant subi une mastectomie'' en collaboration avec l'UQTR. |
![]() | Tamari LanglaisTitulaire d’une maîtrise en sciences humaines appliquées de l’Université Concordia et d’un baccalauréat en bio-agronomie de l’Université Laval, Tamari Langlais s’est jointe à la Chaire CIRUSSS et au Centre de recherche du CISSS de Chaudière-Appalaches en 2022 en tant que professionnelle de recherche. Ses intérêts actuels portent sur l’impact des changements climatiques et d’autres problématiques environnementales sur le bien-être des populations rurales, ainsi que sur tout ce qui peut favoriser leur résilience. Cet intérêt s’inscrit dans la continuité de ses années d’expérience en lien avec le développement des capacités des organisations agricoles en Afrique et en Amérique latine. |
![]() | Nancie AllaireTitulaire d’une maîtrise en sciences géographiques avec mémoire de recherche obtenue à l’Université Laval, Nancie Allaire a eu le privilège d'être étudiante-chercheure au Centre d’études nordiques. Elle détient une expertise en développement des services de proximité de soins de santé en milieu rural. Elle a d’ailleurs participé à une Mission d’études canadiennes au Japon en 2008 pour étudier leur modèle de coopérative et ainsi bâtir le modèle de la Coopérative de santé en Robert-Cliche. Elle s’est jointe à la Chaire CIRUSSS à titre de professionnelle de recherche en 2022 et coordonne le laboratoire vivant MOSAIC |
![]() | Alice MorardAvec en poche une maitrise en sciences de la Terre, profil avec mémoire de recherche, obtenue à l’Université du Québec à Montréal en 2018, Alice est une experte en hydrogéochimie. En 2022, elle rejoint l’équipe du CIRUSSS pour le projet O'SALIS, en collaboration avec l’institut des sciences de la mer basé à Rimouski. |
![]() | Marylène DugasTitulaire d’un doctorat en anthropologie médicale de l’Université de Montréal ainsi que de formations postdoctorales en bioéthique et en transfert de connaissance, elle a œuvré en tant que consultante de recherche en santé au Canada ainsi qu’au sein d’ONG et centres de recherche (IFRC/Croix-Rouge, UNICEF, IRD) dans divers pays d’Afrique et d’Asie du Sud-Est. |
![]() | Joannie LebrunJoannie est titulaire d’un baccalauréat en travail social de l’Université du Québec à Rimouski et d’une maîtrise en travail social de l’Université Laval. Elle est travailleuse sociale en santé mentale dans le réseau de la santé et des services sociaux depuis 2015 et a intégré l'équipe de recherche de la Chaire en 2021. Ayant à cœur l’enseignement de la profession, elle est également chargée de cours en travail social à l’UQAR depuis 2022. Ses intérêts de recherche sont axés davantage vers la santé mentale et les populations marginalisées ou défavorisées. |
Auxiliaires de recherche
![]() | Isabelle HarnoisÉtudiante au baccalauréat en travail social à l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) et technicienne en travail social (Cégep du Vieux-Montréal), Isabelle est animée par le changement social et voit dans le processus de recherche une occasion d’impliquer les personnes concernées afin que leurs voix soient entendues. Isabelle a débuté son travail à la Chaire CIRUSSS dans un contexte de stage (été 2021) où elle a effectué des entrevues auprès des personnes proches aidantes pour la recherche « Prendre soin des proches aidant-e-s en temps de COVID-19 : la réalité des proches aidant-e-s qui soutiennent des personnes présentant un trouble de santé mentale (TSM) ou un trouble du spectre de l’autisme (TSA) en milieu rural ». À travers son implication dans divers projets de recherche tel que Virage, elle est responsable de la page Facebook CIRUSSS et produit l’infolettre en collaboration avec l’équipe de la chaire. |
Citoyennes chercheuses
![]() | Julie CoulombePaire aidante famille pour la Société québécoise de la schizophrénie et des psychoses apparentés depuis 2020, Julie possède un savoir expérientiel comme proche aidante et accompagnatrice pour de nombreuses familles qui l’ont amené à expérimenter le réseau du système de soins de santé de la grande région de Montréal, en milieu hospitalier pédopsychiatrique et psychiatrique. Elle est impliquée dans diverses sphères et projets de paire aidance famille, son expérience terrain lui permettant d’avoir une bonne compréhension du contexte dans lequel s’inscrivent les problématiques dans le domaine de la santé et des services sociaux. Julie travaille également pour la Banque Nationale depuis 2005 et s’implique dans le programme de pair aidant en entreprise. Elle est diplômée de l’Université de Montréal du microprogramme de 1er cycle en santé mentale : mentor pour pairs aidants. Elle s’est jointe à l’équipe de la Chaire en 2021 comme citoyenne chercheuse. |
![]() | Mary Anne LevasseurDiplômée à la maîtrise aux études théologiques de l’Université Concordia, Mary Anne Levasseur agit comme citoyenne-patiente partenaire dans divers projets de recherche axés sur les aidants familles et les patients partenaires au Canada. Elle a également coétabli, dirigé et est toujours impliquée au Conseil des Familles et Aidants ACCESS Esprits Ouverts (AFA) au sein d’ACCESS Esprits ouverts (ACCESS EO), un réseau national de recherche et d’évaluation sur les services de santé mentale jeunesse au Canada. Mary Anne possède une vaste expérience de travail de soutien par les pairs auprès des familles et des aidants, notamment comme facilitatrice de groupes de soutien au programme de prévention et d’intervention précoce en psychose à l’institut Universitaire en Santé Mentale Douglas (PEPP Montréal). De plus, elle participe à divers comités consultatifs ainsi qu’à des projets de recherches axés sur la famille. En faisant part de son expérience, en communiquant ses connaissances et en accompagnant des familles dans le labyrinthe des systèmes de santé mentale, Mary Anne souhaite contribuer au soutien des jeunes et à l’engagement des proches dans les services et la recherche en santé mentale. Elle s’est jointe à l’équipe de la Chaire CIRUSSS en 2021 comme citoyenne chercheuse. |