L’UQAR a remporté la première place à la 11e édition des Jeux des infirmières et infirmiers du Québec (JIIQ), présentée du 10 au 12 janvier derniers à Trois-Rivières. Il s’agit de la meilleure performance dans l’histoire de l’Université.

Magaly Houde, présidente de la délégation de l’UQAR, a ressenti une incroyable fierté en montant sur le podium avec sa délégation. « Cette fierté, nous la ressentons pour nous, mais également en tant que représentantes et représentants des sciences infirmières de l’UQAR. Nous devions nous préparer durant une année complète pour cette fin de semaine. Ce n’est pas toujours facile, mais le résultat est indescriptible. C'est vraiment une réussite que l’UQAR se démarque. Nous sommes uniques. En effet, même si l’université est de petite taille, nous sommes capables de réaliser l'impossible! », explique la finissante au baccalauréat en sciences infirmières. L’ensemble de la délégation est fière d’avoir remporté toutes les épreuves académiques.

Les Jeux des infirmières et infirmiers du Québec permettent de créer des liens avec des étudiantes et des étudiants des autres universités qui partagent la même passion. La participation aux activités académiques et sportives est ce qui crée une chimie hors du commun entre les étudiantes et les étudiants et ce qui développe des amitiés durables. « Avec notre délégation cette année, chaque participant était motivé. Nous avons fait un véritable travail d’équipe en nous entraidant. Je participe aux JIIQ depuis 3 ans et je crois que, cette année, nous sommes partis à Trois-Rivières en tant que collègues, mais nous sommes revenus en tant que famille », mentionne Sarah Montminy, vice-présidente de la délégation de l’UQAR.

Magaly Houde est originaire de la Rive-Nord. Elle a décidé d’étudier à l’UQAR malgré la distance et elle ne regrette pas du tout son choix. « Ce que j’apprécie à l’UQAR, c’est la proximité que nous avons avec les autres étudiants et les membres du personnel. Nous ne sommes pas des numéros. Nous pouvons mettre un nom sur un visage. Nous sommes pris en considération. Je pense sincèrement que mes études universitaires n'auraient pas été pareilles dans une institution de grande taille », conclut Mme Houde.