Après avoir découvert toutes les opportunités offertes par l’UQAR au cours de son année d'échange dans le cadre du programme du Bureau de Coopération interuniversitaire (BCI), Océane Reignier a décidé de poursuivre l’aventure uqarienne à la maîtrise en océanographie à l’ISMER. Rencontre avec une étudiante française qui se passionne pour la recherche en océanographie.

L’étudiante a eu l’occasion de rencontrer, au cours de son année d’échange au baccalauréat en biologie, de nombreux professeurs clés pour son avenir universitaire, dont Karine Lemarchand, qui est aujourd’hui sa directrice de recherche, Michel Gosselin et Christian Nozais, qui lui ont offert des occasions de travailler avec eux en recherche lors du cours d’Introduction à la recherche et micro-thèse. « Ces personnes-là m’ont donné la possibilité de découvrir ce que je souhaitais faire. Elles m’ont vraiment soutenue, elles ont cru en moi et m’ont donné ma chance », précise Mme Reignier.

Véritable laboratoire flottant, le navire de recherche Coriolis II a été le théâtre d’une première sortie terrain cet automne pour cette étudiante originaire du Sud de la France. Cette sortie lui a permis d’approfondir ses connaissances, de manipuler des équipements de pointe et aussi de s’intégrer à une équipe de marins. L’étudiante y était accompagnée de quatre professeurs, soit Cédric Chavanne, spécialiste en océanographie physique, Gwénaëlle Chaillou, spécialiste en océanographie chimique, Gesche Winkler, spécialiste en océanographie biologique, et Thomas Richerol, spécialisé en géologie. « La mission sur le Coriolis II m’a permis d’avoir une expérience concrète sur le terrain, ce qui complète bien ma formation théorique », observe Mme Reignier.

Le travail d’équipe étant primordial dans la recherche, Mme Reignier précise la particularité de l’enseignement offert à l’ISMER. « Les professeurs veulent nous inculquer la pluridisciplinarité, mais aussi le travail en équipe. S’aider les uns les autres est très important. La recherche n’est pas individuelle, elle se fait en équipe. On peut être dans des spécialités différentes, chaque matière se complète et cela se reflète dans nos relations entre étudiants », conclut l’étudiante de l’UQAR-ISMER.