Le douzième numéro de la revue Laïus a récemment été lancé à l’UQAR. Une édition qui présente une image renouvelée de cette publication des étudiantes et des étudiants en histoire et en lettres.
Depuis 2007, Laïus publie des articles rédigés par des étudiantes et des étudiants de tous les cycles portant sur des sujets variés en histoire, en études littéraires et sur le patrimoine. « Le dernier numéro est d’une très grande qualité et comprend cinq articles sur des questions qui animent les jeunes chercheuses et chercheurs en histoire et en lettres », relève la professeure Katerine Gosselin.
Les articles en lettres portent sur des romans d’Octave Mirbeau, de Louky Bersianik et de Gaétan Soucy, étudiés sous les angles du féminisme, de la satire et de la psychanalyse. Les articles en histoires revisitent quant à eux des moments clés mais aussi troubles de l’histoire récente du Québec, de la création de l’impôt provincial sur le revenu des particuliers en 1954 par le gouvernement duplessiste à l’évolution de la doctrine antisémite et négationniste d’Adrien Arcand.
Les articles sont signés par Alice Bergeron, Marie-Michèle Garneau, Arielle Jarry, Justin Dubé et Simon Delarosbil. Le douzième anniversaire de la revue a en outre été l’occasion pour renouveler l’image de Laïus grâce au travail et à la créativité de Marie-Soleil Belzile, étudiante au baccalauréat en histoire et membre du comité éditorial de la publication.
Des exemplaires de la revue sont disponibles au secrétariat du Département des lettres et humanités (B-301), et le numéro est accessible en ligne sur le site de la revue Laïus. Le comité éditorial de la dernière édition était composé de Marie-Soleil Belzile (conception graphique), d’Anthony Carrier (révision), de Simon Delarosbil (trésorerie), d’Arielle Jarry (révision) et d’Andréanne Morin-Dupont (communications), de même que des professeurs au Département des lettres et humanités Nicolas Beaudry, Katerine Gosselin et Julien Goyette.
« Le comité tient à souligner l’appui des modules de lettres et d’histoire de l’UQAR, de l’Association des étudiantes et des étudiants en histoire (AEEH), du Regroupement des étudiantes et des étudiants en lettres (RÉEL), de l’Association générale des étudiantes et étudiants du campus de Rimouski (AGECAR), ainsi que du Fonds de soutien aux projets étudiants de l’UQAR. Bravo à toute l’équipe pour le travail accompli! », conclut la professeure Gosselin.