Cette recherche vise à avancer les connaissances sur les facteurs déterminant la performance des entreprises établies dans un parc scientifique selon les trois phases du processus d’innovation : conception, implémentation et marketing. Les diverses formes de proximité entre les acteurs (géographique, organisationnelle et technologique) seront considérées, ce qui permettra d’estimer et de hiérarchiser ces facteurs.

Ce projet de recherche utilisera deux approches. Une première phase consistera en la réalisation et l’analyse d’entrevues dans le but de découvrir des pistes pouvant mener à la mesure de la performance des parcs scientifiques et des facteurs déterminant du succès de ceux-ci. Ensuite, ces données serviront à l’élaboration d’un questionnaire qui sera distribué aux dirigeants des entreprises situées dans les six (6) parcs scientifiques recensés au Québec. Les données recueillies et analysées permettront de hiérarchiser l’importance des facteurs déterminant la performance des parcs scientifiques. Les effets directs et indirects des facteurs liés aux diverses formes de proximité pourront ainsi être estimés. Par ailleurs, ces résultats inspirés par les meilleures pratiques fourniront des pistes de réflexion aux décideurs politiques sur la création et la gestion de parcs scientifiques.

Chercheur principal

Yan Castonguay, professeur en management

Co-chercheurs

• Samuel St-Yves-Durand, professeur en comptabilité
• Rhizlane HAMOUTI, Ph.d, Professeur, UQO, Campus de Saint-Jérôme 

Le projet de recherche proposé porte principalement sur l’unicité de ce type d’entreprises : ses caractéristiques et ses facteurs de succès. Nous chercherons à comprendre ce qui fait le succès d’un projet d’entreprise technologique.

Le projet sera donc organisé en 3 étapes. Premièrement, nous devons explorer le phénomène et dresser le portrait de l’entrepreneur technologique québécois. Pour ce faire, nous planifions réaliser une revue de littérature exhaustive sur le sujet et produire quelques études de cas. Deuxièmement, nous désirons exposer les facteurs de succès et d’échecs de tels projets. Pour ce faire, nous nous baserons sur la revue de littérature et sur les résultats de nos études de cas pour développer un questionnaire en ligne que nous soumettrons à des entrepreneurs technologiques. Troisièmement, nous voulons explorer plus en profondeur quelques facteurs de succès, confirmés par notre questionnaire et spécifiques à la réalité québécoise, par de nouvelles études de cas. La contribution principale de cette recherche sera de générer une connaissance unique et singulière sur le phénomène de l’entrepreneuriat technologique québécois et lévisien. De plus, nous identifierons les principaux facteurs de succès dans le but de développer les meilleures pratiques de gestion.

Chercheur principal

Yan Castonguay, professeur en management

Co-chercheurs

• Samuel St-Yves-Durand, professeur en comptabilité
• Rhizlane HAMOUTI, Ph.d, Professeur, UQO, Campus de Saint-Jérôme

Cette étude se veut une excursion à l’intérieur d’une plateforme de socio financement très active chez nos voisins d’en face (Ville de Québec). Cette recherche vise à améliorer les connaissances dans un domaine directement lié au développement local. Toutes les parties prenantes de la région de Lévis-Chaudière-Appalaches profiteraient de plus d’informations sur le sujet: a) les promoteurs à la recherche de financement; b) les collectivités locales de la région Chaudière-Appalaches désirant favoriser l’entrepreneuriat; c) les leaders de l’économie sociale; d) le petit investisseur ou donateur; e) les intervenants et des agents de développement du grand Lévis.

Le projet utilisera l’approche étude de cas permettant d’analyser en profondeur des phénomènes dans leur contexte. Le recours à cette méthode qualitative doit néanmoins obéir à des normes scientifiques et être empreint d’une rigueur au moins équivalente à celle des méthodes quantitatives de recherche. Notre analyse de cas (Case Study) portera sur l’analyse du dynamisme d’une plateforme de crowdfunding ayant fait ses preuves. L’équipe de recherche effectuera des entrevues auprès des parties prenantes (les leaders politiques, les promoteurs locaux et la quarantaine de mentors liés au démarrage de la plateforme laruchequebec.com). Une attention particulière sera portée sur une soixantaine de projets ayant obtenu le soutien de laruchequebec.com. L’observation des activités de laruchequebec.com servira de laboratoire. En cours de route, l’équipe effectuera des entrevues avec des clients de La Ruche, écrira des articles scientifiques, présentera des communications scientifiques sur le sujet et rédigera des pamphlets vulgarisant le modèle d’affaires d’une plateforme crowdfunding. En bout de course, une «boîte à outils» sera développée afin de soutenir le développement local dans la région Lévis-Chaudière-Appalaches.

Chercheur principal

Richard-Marc Lacasse, professeur en management

Co-chercheure

Berthe Lambert

Le projet consiste à identifier les pratiques de gestion de projet qui sont les plus susceptibles de contribuer à l’amélioration de la productivité et à la croissance des PME innovantes des secteurs industriel, manufacturier et des services dans la région Chaudières-Appalaches. Sujet très rarement abordé dans la littérature globale en gestion de projet (Pollack et Adler, 2014) voir inédit au Québec, à tout le moins en Chaudière-Appalaches, cette recherche permettra de se doter d’un portrait des pratiques de gestion de projet dans les petites et moyennes entreprises innovantes de la région et, surtout, de dégager celles qui en soutiennent le mieux l’efficience, l’efficacité et la croissance.

L’approche méthodologique de cette recherche en deux phases tient compte des particularités de chacune d’elles. Elle s’inscrit dans une perspective multi-traits/multi-méthodes. Dans sa première phase, une perspective exploratoire (constructiviste) dans la mesure où elle cherche à identifier, sur la base de l’analyse multi-cas (6) en profondeur, les pratiques de gestion de projet qui soutiennent le mieux l’amélioration de la productivité et la croissance des PME. La deuxième phase permettra d’abord de valider l’instrument d’enquête découlant de la phase 1 (validité de construit), puis de l’utiliser dans le cadre d’une enquête plus vaste afin d’en confirmer la pertinence (validité de contenu). Cette seconde phase s’inscrira donc dans une perspective confirmatoire (positiviste). Une fois ces deux phases franchies, il sera possible de transférer ces résultats vers la pratique en les traduisant sous forme de levier organisationnel concret de nature à supporter la mise en œuvre des pratiques de gestion de projet les plus susceptibles de supporter une entreprise. L’identification de ces pratiques pourra permettre ensuite l’élaboration d’un outil diagnostic destiné aux PME qui leur permettra de prendre conscience de leurs forces et faiblesses de ce point de vue. Elles pourront par la suite élaborer et mettre en place un plan d’action visant leur renforcement organisationnel en gestion de projet. Les actions possibles sont alors la formation des ressources humaines, le développement d’outils et l’implantation de processus.

Chercheur principal

Louis Babineau, professeur en gestion de projet

Co-chercheur

Jean-Yves Lajoie

Le transfert d’une entreprise à un nouveau propriétaire est un passage important pour toute entreprise et pour toute l’économie. Devant l’importance de cet enjeu, l’objectif ultime de ce projet de recherche est de jeter un éclairage plus complet sur le sujet afin de déterminer dans quelle mesure il s’agit d’une problématique régionale, et de suggérer des pistes d’intervention permettant d’y faire face adéquatement. Le premier objectif sera de réaliser un portrait quantitatif de la situation de la relève entrepreneuriale dans la région de Chaudière-Appalaches. Le projet s’attaquera également aux comportements entrepreneuriaux des entrepreneurs cédants et de la relève potentielle afin d’identifier les obstacles à la relève, notamment en ce qui concerne la préparation inadéquate des cédants ainsi qu’au manque d’appui pour les repreneurs. En plus de dresser un portrait de la situation régionale, le second objectif du projet sera de proposer différentes pistes d’action et de solutions permettant d’améliorer la situation du transfert des entreprises dans la région de Chaudière-Appalaches.

L’approche méthodologique sera réalisée au moyen de sondages auprès d’un panel de répondants résidents de la région de Chaudière-Appalaches. Les résultats de cette étude seront diffusés dans différents séminaires, colloques, congrès et articles scientifiques.

Chercheur principal

Rachid Ghilal, professeur en finance

Co-chercheurs

• Harold Heppell, professeur en services financiers
• Francis Belzile, directeur administratif du CEUDO et professeur en fiscalité

L’objectif central au coeur de ce projet de recherche vise à comprendre en quoi la qualité de vie de la ville de Lévis pourrait constituer un facteur significatif dans l’attraction et la rétention d’une main-d’oeuvre migrante, interrégionale, interprovinciale et internationale. De façon concomitante, il visera à identifier les composantes de la qualité de vie les plus déterminantes pour les migrants, régionaux, interprovinciaux et internationaux, et ainsi les exploiter dans le cadre de communications destinées à une main-d’oeuvre en recherche de nouveaux défis hors de leur territoire d’origine. Enfin, le projet permettra de donner des indications aux élus de la ville de Lévis quant aux pistes de développement à poursuivre aux fins de l’amélioration de la qualité de vie de leur ville, que sous-tend leur but de développer la main-d’oeuvre de façon durable sur leur territoire.

Une méthodologie mixte constituée d’entretiens semi-dirigés et d’entretiens de groupe est utilisée afin de recueillir les données. Le projet permettra de générer des recommandations quant aux efforts de communication (ou de promotion) de toutes les instances préoccupées par le recrutement de la main-d’oeuvre sur le territoire de la ville de Lévis. De plus, il adressera aussi des recommandations concrètes destinées aux instances décisionnelles de la ville de Lévis quant à la nature du développement à privilégier sur la base des facteurs d’attrait et de rétention identifiés.

Chercheure principale

Sylvie Morin, professeure en marketing

Cette recherche proposera un guide pour la mesure de la performance de DD pour les entreprises manufacturières de Chaudière-Appalaches. Elle proposera également une typologie des indicateurs de DD à partir d’une revue de littérature des normes, standards, et références les plus couramment utilisés. De plus, elle dressera un portrait des pratiques de mesure et de divulgation des performances de DD des entreprises manufacturières de Chaudière-Appalaches et comparera leurs pratiques avec celles des PME du reste du Québec. Enfin, elle permettra la conception d’un guide d’indicateurs clés que pourront utiliser les entreprises manufacturières de Chaudière-Appalaches pour mesurer leur engagement en faveur du DD.

L’approche méthodologique sera constituée d’une revue systématique des normes et référentiels de mesure des performances de DD, d’une analyse du contenu des sites Web et d’un guide d’indicateurs. Pour les entreprises de la région de Chaudière-Appalaches, cette recherche contribuera à mieux comprendre (et prendre conscience des) les enjeux liés à la mesure et au reporting des performances de DD. En l’occurrence, cette recherche permettra de jauger le niveau d’internalisation des pratiques de DD par les entreprises de la région de Chaudière-Appalaches. Une autre retombée importante de cette recherche serait de mieux comprendre les rôles multiples conférés à l’utilisation d’indicateurs de DD. En effet, les indicateurs de DD ont le potentiel d’aider les organisations et les institutions gouvernementales à suivre les progrès réalisés en matière de développement durable et à définir des politiques qui aideront à améliorer leurs performances, transformant ainsi le concept abstrait de durabilité en un objectif concret.

Chercheure principale

Anissa Frini, professeure en production

Co-chercheur

Dominique Diouf 

Cette recherche a pour objectif de décrire et comprendre, au niveau régional, les mécanismes qui soutiennent ou stimulent le développement, l’adoption, l’implantation ou l’utilisation et l’assimilation des technologies numériques au sein et entre les organisations de la région Chaudière-Appalaches.

L’approche méthodologique de recherche est qualitative. Elle se compose de 10 à 15 entrevues auprès des fonctionnaires en politiques régionales sur les technologies numériques et d’une trentaine d’entrevues avec les entreprises de Chaudière-Appalaches. Pour les entreprises de la région de Chaudière-Appalaches, cette recherche contribuera à mieux comprendre le point de vue des principaux acteurs quant au rôle du cadre institutionnel régional dans le développement, la diffusion et l’assimilation des technologies numériques. Cette recherche facilitera le transfert des bonnes pratiques de la région de Chaudière-Appalaches vers d’autres régions du Québec et vice-versa. De plus, le développement de conseils pratiques à partir de cette recherche permettra de renforcer les bonnes pratiques observées au sein de la région Chaudière-Appalaches et de faire évoluer les pratiques les moins efficaces. Ainsi, cela fera accroître le leadership de la région de Chaudière-Appalaches au sein du réseau des régions du Québec en matière de technologies numériques ainsi que son rayonnement au niveau provincial et fédéral.

Chercheur principal

Placide Poba-Nzaou, D.B.A., Professeur, ESG UQAM

Co-chercheurs

• Anissa Frini, professeure en production
• Sylvestre Uwizeyemungu, D.B.A., Professeur, UQTR

Chercheur : Louis Babineau

Source de financement : Fonds spécial de recherche

Ce projet vise à identifier et à valider les pratiques organisationnelles susceptibles de supporter favora­blement l’implantation des bureaux de projet dans le secteur spécifique de la santé et des services sociaux. L’analyse de données recueillies lors de 17 entrevues en profondeurs réalisées au sein de cinq organisations du réseau de la santé au Québec, dont deux situées en Chaudières-Appalaches, a permis de répertorier 49 fac­teurs d’influence regroupés en 9 variables stratégiques et opérationnelles.

Les résultats de ce travail mettent en évidence l’importance d’au moins 3 constats afin de favo­riser le succès de la mise en place d’un bureau de projet, soit qu’il dispose d’une gouvernance indépendante, claire et agile ; que sa stratégie de déploiement soit pro­gressive et fondée sur la valorisation des projets à succès plutôt que sur le redressement de ceux ayant moins bien fonctionné ; et sur un plan d’implantation et de commu­nication qui permet de compter sur une équipe d’agents de développement sectoriel et le support d’un agent de gestion du changement, en plus de communiquer et de valoriser régulièrement ses résultats.

Chercheurs : Louis Babineau& Sébastien Béchard (UQAR)

Source de financement : Fonds spécial de recherche.

Ce thème regroupe différents projets de veille et de recherche en émergence et est lié à l’évolution des environnements dans lesquels oeuvrent les gestion­naires de projet en particulier dans les secteurs public, privé et communautaire. Ainsi une étude d’opportunité préliminaire sur la reconnaissance formelle du métier de gestionnaire de projet montre des réalités distinctes entre le secteur privé et public, le premier offrant vraisemblablement plus de souplesse que le second à cet égard. Les travaux de recherche d’un étudiant du programme de maitrise de l’UQAR s’intéressant à la gestion de projet dans le milieu communautaire en santé et services sociaux montrent aussi des résultats intéressants.

La recherche sur la percep­tion du profil de compétence attendu des gestionnaires de projets du secteur communautaire montre, au sein des 4 organismes rencontrés, une nette prévalence des compétences comportementales et sectorielles au détriment de celles spécifiques à la gestion de projet. Différentes variables semblent influencer ce phénomène dont la mission, la taille et les modalités de financement des organismes. D’autres travaux de recherche sur la gouvernance de projet au sein de sec­teur communautaire et sur le rôle d’une communauté de pratique en support au développement des compé­tences du gestionnaire de projet sont en élaboration.

Chercheurs: Yan Castonguay (UQAR) & Daniel Plamondon (UQAR)

Source de financement : Fonds institutionnel de recherche de l’UQAR

Traditionnellement, l’environnement comptable et la culture de contrôle qui lui est associée étaient perçus comme des éléments contraignants pour l’innovation où la liberté et la flexibilité sont requis (Bisbe and Otley 2004). Or, de récentes recherches démontrent la per­tinence de l’environnement de comptabilité comme un élément pouvant contribuer à l’innovation au sein de l’entreprise (Davila et al. 2009). Les rapports finan­ciers, budgets, simulations et analyses financières de toutes sortes sont nécessaires pour convaincre les investisseurs et les rassurer. Les services profession­nels comptables sont également nécessaires pour aider l’entreprise innovante à se qualifier aux diverses formes d’aides à l’innovation et de crédit d’impôt à la recherche offerts par les gouvernements, très importants pour soutenir sa trésorerie.

C’est dans cette perspective que le Conseil supérieur de l’Ordre des experts comptables de France (2013) a énoncé une position d’action ainsi que des guides pratiques à l’intention de ses membres pour accompagner leurs entreprises clientes, TPE et PME, dans le volet financier du processus d’innova­tion. Jusqu’à présent, peu de chercheurs (Zhang and Li 2010) ont travaillé sur l’impact de l’environnement comptable comme facilitateur à l’innovation. Ce pro­jet de recherche vise donc à répondre à la question principale : Quelle est l’influence de l’environnement comptable sur la capacité à innover de l’entreprise? Pour ce faire, les influences de l’environnement comptable interne et externe des entreprises manufacturières de la région de Chaudière-Appalaches seront testées.

Chercheurs: Frini Anissa (UQAR), Dhekra Ben Sassi (ISG Tunis), Wahiba Abdeslam Karaa (ISG Tunis), Kraiem, Naoufel (ISG Tunis)

Source de financement : Fonds spécial de recherche.

Competitive intelligence (CI) deals with the competitive environment of the company. The term was defined by the Society of Competitive Intelligence Professionals as “a systematic and ethical program for gathering, analyzing and managing external information that can affect your company’s plans, decisions and operations”. During the last decades, the concept became more and more important because of the changing competitive environment, the huge number of competitors, the increased level of competition, the diversity of goods and services, and the volatility of opportunities. The literature review shows that the majority of research studies worked on the concept of CI, the process and its benefits. At the best of our knowledge, there is no research focusing on the development of CI solutions in term of anticipation of competitor actions.

In this research work, our aim is to propose a competitive intelligence solution that predicts competitor actions. The proposed solution is based on rough set theory which has the capability to deal with inexact data and drive rules from it.

Chercheurs : Anissa Frini (UQAR), Sarah Benamor (Université d’Ottawa), Bruno Urli (UQAR), Lucie Bertrand (Bureau du Forestier en Chef du Québec)

Source de financement : Fonds institutionnels de recherche de l’UQAR

Le gouvernement du Québec s’est doté depuis 2005 d’une loi sur le développement durable qui établit un nouveau cadre commun de gestion pour tous les minis­tères et organismes gouvernementaux du Québec. Selon la loi, le développement durable s’appuie sur une vision à long terme qui prend en compte le carac­tère indissociable des dimensions environnementale, sociale et économique des activités de développe­ment. Ainsi, on met l’emphase sur la nécessité d’avoir une vision holistique et de traiter les questions reliées au développement durable dans une perspective de recherche d’équilibre à long terme entre ces trois dimensions. Dans le cadre du respect de cette loi, les ministères et organismes concernés cherchent à se doter des meilleures approches et méthodes originales qui vont leur permettre de sélectionner les projets et ce, dans différents domaines tels que la santé, le transport, l’aménagement forestier, la construction, la production d’énergie, etc.

L’objectif général du projet est de déve­lopper une approche multicritère multi-périodes pour la sélection de projets publics prenant en considération les exigences d’un développement durable dans un ave­nir incertain. Cette nouvelle approche est appliquée pour la sélection des options d’aménagement forestier durable en collaboration avec le bureau du forestier en chef du gouvernement du Québec.

Chercheurs : Rachid Ghilal (UQAR), Abdelmajid Hmaittane (UQAC)

Source de financement : Fonds spécial de recherche.

Dans cet article, nous examinons la relation entre la responsabilité sociale des entreprises (RSE) et le coût du capital des firmes dans les industries controversées. L’étude porte sur un vaste échantillon américain d’en­treprises émanant d’industries controversées, tels que l’alcool, le tabac, le jeu, l’armement au cours de la période entre 1991 et 2012.

Cinq modèles sont utilisés pour cal­culer le coût du capital et différentes cotes pour mesurer l’engagement social de l’entreprise. Au-delà de l’analyse univariée, des régressions de panel et des variables de contrôle sont employées afin d’étudier les effets de la RSE sur le coût des capitaux propres. Bien que la relation ait été étudiée dans d’autres industries et qu’il existe des évidences empiriques de l’effet de la RSE sur le risque des entreprises dans les secteurs controversés, aucune étude sur la façon dont l’engagement social peut influen­cer le coût des capitaux propres dans ces secteurs n’a été réalisée. Par conséquent, notre recherche sera une contribution à la littérature actuelle.

Chercheurs : Rachid Ghilal (UQAR), Mzali Bouchra (UQAM), Lang Pascal, (Université Laval), Jean-Jacques Lilti (Université Rennes 1, France)

Source de financement : Fonds spécial de recherche

In this study, our main objective is to compare three strategies of international diversification: by country, industry sector and geographic regions, using two diffe­rent methodological approaches, namely the «mean variance spanning» and multivariate cointegration test proposed by Johansen (1988) and developed by Johansen and Juselius (1990). Since neither the tradi­tional approach based on the analysis of the influence of country, region and industry on stock returns, nor the comparison of the average correlation factors allow us to test differences in the gains from internatio­nal diversification due to each strategy, we adopt two new methodological approaches.

The first is whether the movement of the efficient frontier as a result of the addition of financial assets to a reference portfo­lio is statistically significant and that, using the test «mean-variance spanning.» The second is to study the long-term relationship between the U.S. market and the three strategies of international diversification and that, using the multivariate cointegration test. In our empirical analysis, we use the values and monthly returns of investable indices denominated in U.S. dol­lars and we cover the period between 1994 and 2008. Using indices of Morgan Stanley Capital International (MSCI), our sample consists of 41 country indices, including 22 developed and 19 emerging and six geo­graphic regions. In addition, we distinguish between regions composed of developed countries and those composed of emerging countries. Our sample also contains ten global industries proposed by Standard and Poor’s (S&P). Both types of selected indices, MSCI and S&P, are distinguished by their investable nature and are actively used in passive investment strategies, particularly for exchange traded funds.

Chercheurs : Sylvie Morin, Rachid Ghilal, Harold Heppell et Jean-Yves Lajoie

Source de financement : Fonds spécial de recherche

La compétence, incluant les connaissances et compé­tences en matière de gouvernance et de gestion des placements, des membres des comités de retraite est un enjeu important considérant son influence sur la gestion efficace des régimes de retraite et sur la perfor­mance à long terme de ceux-ci. Toutefois, bien que cette compétence soit attendue et énoncée dans les respon­sabilités du comité de retraite, ce concept demeure non-défini, non-précisé.

Le présent projet de recherche vise donc à : i) documenter le rôle et les responsabilités du comité de retraite tels que perçus par des membres experts ; ii) enrichir le concept de compétence tel que défini par des membres experts de comités de retraite, iii) valider auprès de ceux-ci la correspondance entre cette compétence souhaitable et la formation qui leur est adressée et proposer les ajustements pertinents, iv) élaborer une mesure d’évaluation de la compétence des comités de retraite qui témoigne de la compréhension et de l’enrichissement du concept de compétence.

Chercheur : Jean-Yves Lajoie

Source de Financement : Ministère de la Sécurité Publique (196 161$)

Le MSP souhaite procéder à l’actualisation du proces­sus de gestion intégrée des risques au sein du ministère en y intégrant des pratiques qui visent à mieux évaluer les interdépendances entre les risques complexes, à la fois en projet TI et en sécurité de l’information. Le pro­jet s’inscrit dans cette vision à long terme en favorisant une cohérence dans la documentation entourant les pratiques de gestion des risques, d’abord à la DTI en pre­nant en compte les risques de projets, puis, au sein du ministère, par l’encadrement de la gestion des risques de sécurité de l’information. De plus, le projet s’inspire des théories les plus modernes en gestion de risque, combi­nées aux connaissances des praticiens du ministère. Sur le plan scientifique, le but principal de cette recherche consiste à examiner la valeur ajoutée de l’approche par la dynamique des systèmes combinée à des méthodes plus traditionnelles de gestion des risques pouvant ainsi contribuer à la mise en place d’un processus permet­tant de mieux évaluer la probabilité de manifestation des risques, leur impact, la capacité de réaction et les réponses appropriées pour l’organisation.

Après une revue de littérature sur la gestion des risques en contexte de projet et l’utilisation de la dyna­mique des systèmes, nous procéderons à l’inventaire des pratiques en gestion des risques de projet à la Direction des technologies de l’information du MSP. À partir de cet inventaire, nous ferons une proposition théorique de modification de l’évaluation des risques les plus complexes en utilisant l’approche de la dyna­mique des systèmes. Puis, à l’aide de la cartographie cognitive, nous entendons faire appel aux spécialistes du ministère pour modéliser leur perspective de la gestion des risques les plus complexes de façon à vali­der notre modèle théorique, mais également à rendre opérationnelle la nouvelle méthode proposée. La même démarche sera appliquée pour la gestion des risques de sécurité de l’information, en utilisant essentiellement le même modèle théorique que nous adapterons au contexte particulier des risques de sécurité de l’infor­mation, pour lesquels le MSP a un mandat qui s’étend à l’échelle du Gouvernement du Québec.

Chercheurs: Sylvie Morin, Harold Heppel, Rachid Ghilal

Source de financement : Fonds spécial UQAR

Le projet se déroule en deux phases. L’objet de la phase 1 était de faire un portrait de la situation quant au niveau de connaissances, de compétences financières et de confiance des étudiants de niveau post-secondaire relati­vement à la finance personnelle. Sur la base des constats obtenus, une deuxième phase se doit d’être amorcée afin d’étudier plus finement les réponses ainsi que les com­portements financiers des jeunes étudiants de niveau post-secondaire.

Ayant observé des réalités financières fort différentes chez ces jeunes adultes (dépendance financière vs autonomie financière avec des obliga­tions et moyens financiers fort différents), la deuxième phase vise à comprendre les réalités financières de ces différents groupes et ainsi aborder les besoins de for­mation spécifiques à ceux-ci. Cette deuxième phase exploitera donc l’analyse inférentielle pour comprendre des réalités diverses et ainsi passer à l’action quant au développement de programmes de formation en finance personnelle à prévoir et à déployer pour chacune des réalités financières en présence. Ce projet jette les bases d’une phase subséquente qui visera à fournir de la forma­tion en finance personnelle et d’en évaluer son efficacité, à court, moyen et même long terme, par l’établissement d’une étude menée de façon longitudinale.

Chercheurs: Marie-Claude Boudreau (University of Georgia), Hamid Nach (UQAR), Albert Lejeune (UQAM)

Source de financement: CRSH

This research seeks to increase our understanding of the relationship between IT affordances and collective iden­tity in the context of intergroup collaboration. Particularly, we investigate the type of IT affordances (i.e., collabora­tive, organizational memory, or process management) that are more prone to support certain types of identities (i.e., superordinate collective identity, intergroup rela­tional identity, or intergroup ambivalent identity) when groups need to collaborate towards the accomplishment of a common goal. We suggest three hypotheses which we plan to test via a field study within the Architecture, Engineering and Construction (AEC) industry.

Chercheurs: Hamid Nach (UQAR), Marie-Claude Boudreau (University of Georgia), Albert Lejeune (UQAM)

Source de financement: CRSH

L’objectif de la recherche est de développer une théo­rie enracinée pour expliquer les sources d’influence sur la performance de groupe (affordance TI, meso, macro, sur la performance de groupe.). Abstract: Research suggests that productive interorganizational (or intergroup) collaboration is not self-evident, par­ticularly when it involves significant changes in work processes.

This paper uses the intergroup relational identity theory as a guide to explain how this collabora­tion unfolds. Using a qualitative, inductive approach, we conducted two field studies (one in Finland, the other in Quebec) to compare and contrast the very different appropriation of an interorganizational system wit­hin the Architecture, Engineering and Construction (AEC) industry, known as BIM (Building Information Modeling). We leverage this data and theory to sug­gest a conceptual framework identifying sources of influence to intergroup performance. Specifically, we highlight the role of IT affordances, meso drivers, and macro drivers on intergroup relational identity, and in turn, on intergroup performance.

Chercheur principal : Hamid Nach

Source de financement : Fonds spécial de recherche.

Au-delà des ordinateurs, des tablettes et des télé­phones intelligents, de plus en plus d’objets, aussi variés qu’insolites, rejoignent le monde connecté de l’inter­net. La montre, la voiture, le réfrigérateur, la cafetière, la bouilloire, le thermostat, la télévision, la caméra de surveillance, la brosse à dents, pour ne nommer que ceux-là, deviennent tous « intelligents ». Grâce à leur nouvelle capacité de calcul, ils peuvent capturer et communiquer plusieurs informations telles que la géolocalisation, la vélocité, le son environnant, le flux d’image, la présence de mouvement, la pression, la température, etc.

Seulement voilà, bien que ces objets soient utiles pour les utilisateurs, ils font aussi, à bien des égards, le bonheur des cybercriminels. En effet, les objets connectés sont, souvent, conçus avec le souci de l’utilité plutôt que celui de la sécurité, ce qui en fait des objets vulnérables. La présentation s’inscrit dans cette perspective, son objectif est de jeter la lumière sur un volet de la cybercriminalité qui est en pleine croissance: celui de l’internet des objets.

Chercheurs : Samuel Saint-Yves-Durand (UQAR)

Source de financement : Fonds spécial de recherche.

Outil pédagogique et mesure d’employabilité utilisés au collégial et en formation professionnelle, l’entre­prise d’entraînement (EE) n’est présente que dans une seule université au Canada. L’expérience passée démontre pourtant une diminution du décrochage et une hausse de la diplomation chez les étudiants après l’utilisation de cet outil. À ce sujet, la littérature pré­sente peu de données probantes justifiant l’expansion de l’EE dans le cursus universitaire. La présente étude de cas de l’EE Avisoeep de l’UQAR vise à exposer cette problématique à la communauté scientifique et à en étudier l’impact chez des étudiants. L’EE est un moyen pédagogique favorisant l’intégration et le transfert des connaissances des étudiants qui influenceraient positive­ment leur appréciation vis-à-vis la matière à intégrer, leur procurerait une satisfaction globale supérieure et aurait un impact positif sur leur taux de réussite.

Pour élaborer un questionnaire destiné à la rédaction de l’étude de cas (approche linéaire-analytique), le cadre théorique est établi avec un spécialiste en pédagogie uni­versitaire et les caractéristiques de l’EE sont définies en recensant les écrits. À la suite de l’obtention du consen­tement éclairé des participants recrutés (groupe cas et groupe contrôle), les données sont recueillies et analy­sées. L’EE favorise le transfert des connaissances. Le taux de satisfaction des étudiants et l’intégration de la matière sont supérieurs chez les étudiants du groupe cas.

Chercheur principal : Samuel Saint-Yves-Durand

Source de financement : Aucune

Dans la cadre de sa foire commerciale annuelle, le Réseau canadien des entreprises d’entraînement éva­lue principalement les participants sur la base de leurs compétences en marketing, notamment en ce qui a trait au plan de communication et à l’exécution de ce plan. Or, dans le cadre de la 19ème Foire cana­dienne des entreprises d’entraînement, les organisateurs ont exprimé leur volonté d’avoir également une évalua­tion au point de vue comptable. L’objectif était d’avoir un moyen simple, pratique et efficace d’évaluer l’aspect comptable au sein des entreprises d’entraînement.

Chercheurs : Magali Simard (UQAR), Danielle Laberge (UQAM), Monique Aubry (UQAM).

Source de financement : FQRSC, bourses d’excellence doctorale de la Chaire de recherche de gestion de projet

Suite du projet de thèse qui portait sur comment les crises se développent dans les projets et montre l’im­portance de la relation entre la gouvernance formelle et informelle au niveau des structures internes du projet, et aussi en relation avec l’organisation parent, car des dysfonctionnements à ces niveaux peuvent avoir de graves conséquences. La méthodologie est une étude de cas simple et les données de recherche proviennent d’entretiens, d’observations ainsi que de la documenta­tion collectée.

Les résultats portent sur une meilleure compréhension des symptômes liés au développe­ment de la crise en projet, ainsi que sur la création d’un modèle portant sur la relation entre la gouvernance, le design organisationnel et la gouvernementalité afin de faciliter la compréhension de la relation entre le formel et l’informel dans le contexte des projets et de leur rela­tion avec la relation parent.

Chercheur principal : Magali Simard

Co-Chercheurs : James Lapalme (ÉTS)

Source de financement : Aucun

Ce projet consiste à étudier la gouvernance et la coor­dination multidisciplinaire dans des projets d’affaires TI afin de mieux comprendre comment les processus de gouvernance viennent supporter la réalisation de la mission et des objectifs des projets tout au long de leur exécution. Le but est donc une meilleure compréhen­sion de la conception et de l’évolution de ces processus et de leur impact sur la coordination multidisciplinaire, incluant la relation complexe avec l’organisation parente. Ajoutons que le terrain de recherche, soit l’organisa­tion visée pour cette étude, possède la particularité de commencer une mise en place progressive de principes agiles pour la conception de ses projets et de sa gouver­nance ; cela fait en sorte de permettre que cette étude se fasse dans le contexte d’implantation et d’utilisation de méthodes agiles, donc d’étudier également le phénomène d’adoption et d’utilisation de principes et méthodes agiles dans le cadre de la livraison de projets d’affaires TI.

La méthodologie est une étude de cas multiples et les données de recherche proviennent d’entretiens, d’observations ainsi que de la documentation collectée. Cette étude est actuellement à l’étape d’analyse des don­nées de recherche.

Chercheur : Roger Zaoré

Source de financement : Fonds spécial de recherche

Le projet de recherche vise à étudier le comportement des entreprises de la région Chaudière-Appalaches en matière d’offre de formation continue pour l’en­semble de leur personnel. Dans un premier temps, le projet cherche à savoir dans quelle mesure les firmes de la région Chaudière Appalaches investissent dans la formation continue de leurs employés sans égard à la taille, au secteur d’activité et à la situation géogra­phique (centres urbains ou milieux ruraux). Dans un deuxième temps, cette formation est-elle accessible à tous les employés indifféremment de leur statut d’em­ploi, de leur sexe et de leur rang hiérarchique dans l’organisation. Ce faisant, nous croyons être en mesure de connaître les critères d’accès à la formation continue qu’utilisent les entreprises pour se doter d’une main-d’oeuvre qualifiée disponible.

Chercheur : Roger Zaoré

Source de financement : Fonds spécial de recherche

Selon la littérature, deux des principaux objectifs des systèmes de rémunération variable sont l’augmenta­tion du degré d’attractivité des meilleures ressources humaines et l’amélioration de la performance glo­bale des entreprises grâce à l’augmentation de la productivité individuelle que suscitent les systèmes de rémunération variable. Autrement dit, la possibilité pour les travailleurs d’augmenter leurs revenus grâce aux efforts individuels constituerait dans un premier temps un facteur d’attraction de la main-d’oeuvre et par voie de conséquence, un facteur d’amélioration de la performance organisationnelle. Cette croyance est telle que plusieurs PME manufacturières (surtout non syndiquées) ne jurent que par les salaires au mérite.

Le projet vise donc à vérifier dans quelle mesure ces pra­tiques de rémunération sont véritablement facilitantes en matière d’attraction d’un personnel qualifié qui, par ricochet, augmente la performance organisationnelle.

incluant les fondements de la capacité stratégique; les stratégies génériques et les facteurs clés de succès; les marchandages et jeux politiques; la défense des intérêts personnels; les alliances et les trahisons.

incluant les règles d’imputabilité; les principes de fonctionnement pour établir les orientations stratégiques; la supervision de la direction; les indicateurs de la performance économique et sociale; les valeurs de mobilité et d’excellence; le design organisationnel et la coordination multidisciplinaire.

incluant la capacité d’innovation des entreprises manufacturières; l’innovation ouverte; et les systèmes régionaux et nationaux d’innovation.

incluant les technologies financières émergentes (le blockchain, les crypto-monnaies, les prêts pair-à-pair (Crowdlending), le financement participatif : crowdfunding & crowdinvesting, les robo-conseillers, le Big Data); la numérisation, la décentralisation et la désintermédiation des institutions bancaires.

incluant l’industrie 4.0; l’Internet des objets; les systèmes cyber-physiques; la numérisation; les réseaux et les processus intelligents.

incluant les stratégies d’attraction et de rétention; les stratégies de formation et de développement; les politiques de rémunération; et la santé et sécurité au travail.

incluant les projets d’affaires TI en mode traditionnel et agile, technologies numériques; technologies financières, diffusion et assimilation des technologies numériques.

incluant l’optimisation de la gestion de projet dans les organisations; le développement des ressources humaines en gestion de projets; la dimension stratégique des projet pour les organisations et les collectivités; les enjeux propres à certains domaines de projet (TI, santé, évènementiel, etc.); la gestion des risques; et la gestion de crises en projet;

incluant l’évaluation de la performance comptable et financière; l’évaluation des performances de développement durable; l’amélioration de la performance par l’optimisation des processus et l’amélioration continue.

La gestion des processus d’acquisition, de maintenance et de développement des relations clients rentables; l’implantation des outils de gestion de la relation client (CRM); et la formation des employés.

Stratégie de commercialisation et de développement commercial; processus d’identification des opportunités d’affaires; coaching et audit de la force de vente; et évaluation de la performance commerciale.​

• Rapport annuel CEUDO 2019-2020
• Rapport annuel CEUDO 2018-2019
• Rapport annuel CEUDO 2017-2018
• Rapport annuel CEUDO 2016-2017
• Rapport annuel CEUDO 2015-2016

Stratégie et gouvernance

• Planification stratégique,  plan d’affaires et étude de marché : pour une vision claire de votre croissance et des occasions de développement
• Budgétisation et tableau de bord
• Stratégies de croissance à l’international
• Réaliser et optimiser le processus de planification stratégique

Achat, vente et financement d’entreprise

• Le financement de votre entreprise : comment en maximiser les bénéfices?
• Achat et évaluation d’entreprise : réaliser une acquisition à valeur ajoutée pour votre entreprise
• Un transfert d’entreprise gagnant

Fiscalité, comptabilité et aspects légaux

• La fiscalité et le démarrage d’une entreprise
• Planification testamentaire et successorale : les impacts fiscaux
• Les erreurs les plus fréquentes en taxes à la consommation
• Demande de subventions et commandites
• Le calcul de votre coût de revient est-il adéquat?
• Démystifier les états financiers
• Compréhension et analyse des états financiers

Stratégies marketing et commercialisation

• Expérience client

Leadership, mobilisation et relations humaines

• La gestion efficace d’une équipe de travail
• Les compétences clés d’un entrepreneur leader
• Nouveau gestionnaire : habiletés-clés à maîtriser
• Comment motiver et mobiliser mon personnel ?
• Mieux comprendre le stress et la santé psychologique au travail
• L’expérience du co-développement : se former avec efficacité
• Attraction et rétention du personnel dans les organisations : entre constats et pistes d’action

Gestion de projet et technologie de l’information

• Gestion de projet et gouvernance d’entreprise
• Transformation numérique en entreprise

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