Étudiante au baccalauréat en biologie, Justine Grimard-Spalding vient de recevoir le Prix de reconnaissance en équité, diversité, inclusion et accessibilité, volet communauté étudiante. Une belle distinction pour cette étudiante très impliquée dans la communauté universitaire.
C’est pour son projet visant à mettre à la disposition de la communauté universitaire des produits hygiéniques gratuits que Mme Grimard-Spalding a reçu ce prix institutionnel. « Cette initiative visait à effectuer un pas de l’avant en termes de justice sociale et d’égalité des sexes, d’autant plus qu’il peut contribuer à réduire la précarité menstruelle, à atténuer l’absentéisme lié aux règles et diminuer les tabous liés aux menstruations », explique-t-elle.
Pour l’étudiante en biologie, l’équité, la diversité, l’inclusion et l’accessibilité sont des valeurs qui favorisent la réussite étudiante. « L’ÉDIA est atteint par des gestes concrets qui permettent à tous de s’épanouir. Dans le cadre universitaire, les actions menant vers l’ÉDIA montrent que l’Université n’est pas seulement un lieu d’apprentissage, mais un espace social où le changement est le bienvenu et où des initiatives étudiantes peuvent avoir de grands impacts et de longues portées. »
Justine Grimard-Spalding s’est particulièrement investie dans la vie universitaire depuis son arrivée à l’UQAR. Pendant ses études en biologie, elle a fait partie du groupe de huit étudiantes ayant réalisé un cours intensif en Amérique du Sud en décembre 2024. De plus, l’étudiante a pratiqué le canot à glace au sein du Nordet avant de joindre l’équipe de natation de l’UQAR. Elle a d’ailleurs mérité le prix athlète de performance du Nordet dans le volet féminin en 2025.
C’est à la fin du mois que Justine Grimard-Spalding terminera son baccalauréat. Cet automne, elle entend poursuivre son parcours universitaire à la maîtrise. Elle se rendra en Arctique cet été pour collecter des données sur le plectrophanes des neiges. « J’aime comprendre le fonctionnement des organismes, la manière dont ils interagissent avec leur environnement. Ce domaine nourrit ma soif de compréhension et me pousse à me poser des questions auxquelles j’adore trouver des réponses. J’aime beaucoup lier la théorie au réel, et c’est ce que les études graduées me permettent de faire », conclut-elle.
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