La deuxième Semaine de la nordicité est présentée au campus de Rimouski du 31 janvier au 6 février. Au programme : course de canot à glace, conférences grand public, projection de film et camping hivernal.

La nordicité est un axe d’excellence de l’UQAR depuis 2005. Afin de faire rayonner cet axe de recherche, un comité nordique formé d’étudiants, de professionnels de recherche et de professeurs a été mis sur pied en 2013. Le comité bénéficie du soutien financier d’EnviroNord, du Centre d’Études Nordiques (CEN), du groupe de recherche sur les environnements nordiques Boréas et de l’UQAR.

Le thème retenu cette année pour la Semaine de la nordicité est la multidisciplinarité de la recherche nordique. « La nordicité touche de nombreuses facettes des pays froids. La recherche axée sur les enjeux des pays froids et de leurs communautés implique une multitude de disciplines telles que la biologie, la géographie, l’océanographie et les sciences infirmières », indique Marie-José Naud, coordonnatrice adjointe du CEN et coordonnatrice de Boréas.

La course de canot à glace au centre-ville de Rimouski, ce samedi à 13h30 à la marina, offre un prétexte idéal au lancement de cette deuxième Semaine de la nordicité. Parmi les activités grand public, soulignons une conférence sur les opportunités nordiques (mardi à 12h au local E-405), la projection du film Le Nord au Cœur (mardi à 19h à l’amphithéâtre F-210) et une conférence sur le thème « À chacun son Nord » (jeudi à 19h à l’amphithéâtre F-210).

Le comité nordique est formé de Frédéric Banville-Côté (DESS en analyse et prévention des risques naturels), de Catherine Bergevin (baccalauréat en sciences infirmières), du professeur Joël Bêty, de Rosalie Crespin (baccalauréat en biologie), de Catherine Doucet (coordonnatrice à la Chaire de recherche en biodiversité nordique), de Laurent Gosselin (baccalauréat en géographie), du professeur Dominique Gravel (directeur de Boréas), de Jean-François Legarde (IMQ), de Marie-José Naud, de Caroline Pinsonnault (maîtrise en géographie) et de Stéfanie Van-Wierts (doctorat en sciences de l’environnement).