Le lectorat du blogue de communication scientifique allemand Wissenschaft Communicates a décerné son « Prix spécial de l’éditeur » au blogue ArcTrain, auquel collaborent des étudiantes et des étudiants de l’ISMER-UQAR. Une belle reconnaissance internationale pour ces chercheuses et ces chercheurs de la relève.
L’Institut des sciences de la mer de Rimouski (ISMER-UQAR), Pêches et Océans Canada (MPO) et l’Ocean Frontier Institute (OFI) mettent sur pied un prestigieux programme de bourses international. Trois bourses totalisant 120 000 $ chacune seront offertes aux étudiantes et aux étudiants qui seront sélectionnés et s’inscriront au doctorat en océanographie en septembre 2023 ou janvier 2024.
Des étudiantes et des étudiants de la Colombie choisissent de plus en plus de poursuivre leur parcours universitaire à l’Université du Québec à Rimouski. Voici un échantillon de cinq d’entre eux qui témoignent de leur expérience à l’UQAR.
L’Université du Québec à Rimouski profite de la Journée internationale des femmes et des filles en science, ce samedi 11 février, pour présenter quatre professeures qui font leur marque dans leur domaine respectif.
L’Institut des sciences de la mer de Rimouski lance à nouveau un prestigieux programme de bourses d’excellence au doctorat en océanographie. Pas moins de 660 000 $ seront attribués à des étudiantes et des étudiants au cours des trois prochaines années.
Directeur de l’Institut des sciences de la mer de Rimouski de l’UQAR, Guillaume St-Onge figure à nouveau parmi les dix découvertes de l’année 2022 du magazine Québec Science. Fait exceptionnel, il s’agit d’une quatrième présence dans ce palmarès pour ce chercheur.
L’Université du Québec à Rimouski (UQAR), l’Institut des sciences de la mer de Rimouski (ISMER) et leurs partenaires l’Université Dalhousie, l’Université Laval et l’Université Memorial participent à un appel de financement de recherche sans précédent sur l’action climatique et le rôle de l’océan. Un programme de recherche d’envergure mondiale qui vise à développer des solutions et des actions concrètes et innovantes pour relever les défis sociaux et environnementaux touchant les océans et le climat.
Cinq finissantes et finissants à la maîtrise en océanographie viennent de présenter à la communauté de l’ISMER le fruit de leurs recherches. Cette année encore, les océanographes de la relève ont montré la qualité de leurs travaux.
La professeure Fanny Noisette vient d’être nommée directrice scientifique associée au sein du réseau MEOPAR. Une belle reconnaissance de l’expertise et du leadership de la titulaire de la Chaire UNESCO en analyse intégrée des systèmes marins.
Margaux Rougier a traversé l’Atlantique pour venir étudier la glace de mer à l’Institut des sciences de la mer de Rimouski. Dans le cadre de sa maîtrise en océanographie, l’étudiante française entend consacrer ses recherches aux ponts de glace présents en Arctique et en Antarctique.
Candidat à la maîtrise en océanographie, Baptiste Brunet s’intéresse aux facteurs pouvant améliorer le taux de survie du bar rayé remis à l’eau à la suite d’une activité de pêche. Un projet qui apportera de nouvelles perspectives pour préserver cette ressource.
Une équipe de l’UQAR a pu tester sur le terrain la plate-forme de carottage UWITEC. Unique au Canada, cet outil de recherche a la particularité de pouvoir être utilisé sur l’eau comme sur la glace afin de prélever des carottes sédimentaires d’une longueur de 30 mètres dans des lacs d’une profondeur pouvant atteindre jusqu’à 300 m.
La Fondation de l’UQAR annonce que la lauréate 2022 du Prix d’excellence de la communauté diplômée de l’UQAR est Marie-Hélène Briand. Diplômée à la maîtrise en océanographie, Mme Briand est la 22e récipiendaire de cette prestigieuse distinction.
Une mission transdisciplinaire menée par le professeur Jean-Carlos Montero-Serrano, de l’ISMER-UQAR, en collaboration avec ses collègues Audrey Limoges de l’Université du Nouveau-Brunswick (UNB) et Alexandre Normandeau de la Commission géologique du Canada (Atlantique), a eu lieu du 7 au 12 octobre à bord du navire de recherche Coriolis II dans l’estuaire maritime du Saint-Laurent.
Chercheur postdoctoral en océanographie, Michel Tamkpanka Tamtare est de retour d’une tournée en Afrique de l’Ouest qui lui a permis de tisser des liens avec plusieurs acteurs du monde maritime. De nouvelles collaborations en sciences de la mer sont à prévoir afin d’y renforcer les capacités en recherche océanographique.
L’Université du Québec a remis son Prix d’excellence du partenariat au professeur en océanographie Réjean Tremblay. Une distinction qui souligne les collaborations de ce spécialiste de l’écophysiologie des mollusques et de l’aquaculture avec des organisations comme Pêches et Océans Canada (MPO) et le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ).
Des chercheurs de l’Institut des sciences de la mer de Rimouski de l’UQAR viennent d’identifier, de caractériser et de dater une cinquantaine de dépôts issus de glissements sous-marins répartis sur 220 kilomètres dans l’estuaire du Saint-Laurent. Les résultats de leurs travaux viennent d’être publiés dans la revue internationale Quaternary Science Reviews.
Diplômé à la maîtrise en océanographie, Théau Leclercq a eu l’occasion de réaliser, à la fin de ses études à l’ISMER-UQAR, un stage au sein de l’entreprise française iXblue. Le chercheur a eu l’occasion de parfaire son utilisation d’un drone de surface de pointe pour les hydrographes et les océanographes.
Une équipe intersectorielle de l’UQAR, du Cégep de la Gaspésie et des Îles (CGÎ) / Merinov et des Fruits de Mer Madeleine inc. développe, en collaboration avec le Centre d’expertise en gestion des risques d’incidents maritimes (CEGRIM), une plateforme de biotests pour l’industrie de la pêche au homard. Cette plateforme a pour but d’assurer les plus hauts standards de qualité de cette ressource prisée par les amateurs de fruits de mer. Un projet de recherche où l’innovation et la préservation de ce crustacé se marient afin d’assurer une pêche plus durable et de favoriser l’autonomie alimentaire du Québec.
Passionné de plongée sous-marine, Arthur Gandin est venu étudier à l’Institut des sciences de la mer de Rimouski de l’UQAR pour parfaire ses connaissances sur le milieu marin et ses écosystèmes. Après son diplôme d’études supérieures spécialisées (DESS) en océanographie, l’étudiant français poursuivra son parcours universitaire cet automne avec une maîtrise consacrée au sébaste.
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