Ève Talbot pratique assidument le cheerleading depuis maintenant 10 ans. Étudiante au baccalauréat en enseignement en adaptation scolaire et sociale, elle poursuit sa passion pour son sport au sein de l’équipe Nova6, qui est associée avec le Nordet.
Le cheerleading occupe une place importante dans la vie de la femme originaire de la Beauce. « J’adore ce sport, car il nous pousse à toujours donner le meilleur de nous-mêmes pour le bien de notre équipe. Lors de nos pratiques, nous travaillons extrêmement fort pour pouvoir se démarquer lors de nos compétitions. Il est primordial de développer un bel esprit d’équipe, car chacun doit donner son 110% pour que l’équipe performe bien. »
Ève Talbot parle avec enthousiasme de son implication au sein de l’équipe de cheerleading du Nordet. « J’apprécie être une athlète dans Nova6, puisque cette équipe me permet de pratiquer le plus haut niveau du cheerleading. Comme nous sommes tous adultes, l’ambiance lors des pratiques est très mature. Nous pouvons donc avancer plus rapidement dans nos apprentissages. Les entraineurs sont compétents et dévoués. Ils croient en nous et ils nous poussent à nous surpasser constamment », explique Ève Talbot qui est également membre de l’équipe Éclipse World et entraineuse des Dragons de la Polyvalente de Saint-Georges.
Avec ses coéquipières Andrée-Anne Tremblay, Marie-Ève Blanchet, Amélie Descoteaux, Amélie Packo-Provence, Léandra Roberge, Alexandra Ricard et Océane Cyr, Ève Talbot a remporté le championnat des étoiles en février dernier. En effet, l’équipe du Nordet a mérité la première place grâce à la qualité de leur prestation, en plus d’être couronnée grand champion de niveau 6. Par ailleurs, les représentantes de l’UQAR ont obtenu une première position dans leur catégorie au dernier Défi Cheer UQAM. Ces jeunes femmes travaillent très fort pour vivre d’autres victoires à leur prochaine compétition le 13 avril à Saint-Hyacinthe.
Étudiante au baccalauréat en enseignement en adaptation scolaire et sociale, Mme Talbot désire devenir enseignante pour les enfants qui présentent des troubles de comportement. « J’ai choisi l’UQAR, car, dès les portes ouvertes, j’ai remarqué que l’université est très humaine. Nous pouvons développer une belle relation avec nos professeurs, nos chargés de cours et les autres étudiants, car nous sommes un nombre restreint d’étudiants dans les classes », conclut l’étudiante.