Axes d’excellence

Riche de la grande diversité de ses expertises de calibre international, l’UQAR se distingue par une correspondance étroite entre ses orientations de recherche et les caractéristiques du territoire où elle est implantée.

Les axes d’excellence en recherche – les sciences de la mer, le développement régional et la nordicité – reflètent cet ancrage, source d’une activité scientifique qui participe à l’essor d’une région. 

Année après année, l’UQAR se démarque parmi les meilleures universités canadiennes en recherche. En 2022, l’UQAR s’est classée pour une quatrième fois au premier rang en recherche au palmarès de la firme Research Infosource Inc. Depuis 2011, l’UQAR s’est retrouvée neuf fois dans le top 3 des universités de sa catégorie. 

Nos recherches mobilisent de très nombreux partenaires internationaux, nationaux, provinciaux et locaux, en plus d’impliquer des étudiantes et des étudiants qui deviendront des spécialistes dans plusieurs domaines clés pour le développement de la société.

Sciences de la mer

Dès la naissance de l’Université du Québec à Rimouski, la compréhension de l’environnement maritime s’est imposée comme un créneau d’études et de recherche incontournable.

La reconnaissance des sciences de la mer comme axe d’excellence a amené l’UQAR à se doter d’une importante capacité de recherche au fil du temps. L’UQAR regroupe aujourd’hui une extraordinaire concentration de chercheurs dont l’expertise couvre un large éventail de questions touchant le domaine des sciences de la mer.

L’Institut des sciences de la mer (ISMER) est un fleuron québécois de la recherche qui jouit d’une réputation internationale.

Situé au campus de Rimouski et doté d’infrastructures de pointe, il regroupe une importante masse critique de chercheurs et d’étudiants d’horizons disciplinaires variés qui se consacrent à la découverte et à l’avancement des connaissances sur les écosystèmes marins, dans une perspective de développement durable.

L’Institut regroupe une communauté de chercheurs de l’UQAR et d’autres établissements associés en provenance de différents horizons disciplinaires : biologie, chimie, physique et géologie. Les experts s’intéressent notamment au fonctionnement des écosystèmes marins en regard des changements climatiques, aux impacts de l’activité humaine sur les écosystèmes, à la valorisation des bioressources marines, à la géologie marine et aux risques naturels.

Les sciences de la gestion sont tout aussi fondamentales pour l’axe de recherche en sciences de la mer. La gestion intégrée et durable des ressources maritimes fait appel à des connaissances multiples dans la prise de décision, tant sur le plan stratégique qu’opérationnel. Ce domaine regroupe des spécialistes en économie, en gestion, en finance, en sciences naturelles et en droit, avec de l’expérience en gestion des ressources halieutiques, du transport maritime et des études environnementales.

Les chercheurs étudient des problématiques économiques propres au secteur maritime, touchant la pêche, la transformation, la commercialisation, l’aquaculture, les biotechnologies et le transport.

Toujours en lien avec la mer, l’UQAR compte de nombreuses expertises associées aux domaines de la biologie, de la chimie et de la géographie. Des équipes de biologistes et de chimistes étudient, entre autres, la valorisation des biomolécules marines, la pollution des environnements aquatiques, l’acidification des océans et les impacts des changements climatiques sur les milieux marins, l’écophysiologie des poissons, l’aquaculture et les oiseaux marins.

En géographie, des chercheurs s’intéressent notamment aux risques naturels, à l’érosion des berges, à la géomorphologie du littoral, à la télédétection marine, à la gestion intégrée des zones côtières, à la dynamique fluviale et au transport des sédiments ainsi qu’à la biogéochimie des systèmes intertidaux et côtiers.

En développement régional, chercheurs et étudiants analysent notamment les dynamiques socioterritoriales du Québec maritime et élaborent des outils d’aide au développement. La connaissance des dynamiques socioterritoriales des zones côtières s’avère essentielle pour être en mesure d’élaborer et de proposer des outils d’aide au développement.

La réflexion se concentre notamment autour des effets des politiques de développement sur l’économie régionale, de l’acceptabilité sociale des projets d’exploitation des ressources naturelles et de l’adaptation des communautés locales aux changements climatiques.

Les expertises en ingénierie de l’UQAR portent sur plusieurs champs d’études en génie mécanique et en génie électrique et permettent divers projets dont la production, l’automatisation et l’optimisation de culture de microalgues d’origine marine en photobioréacteurs pour la production de biocarburant.

Le champ d’études des sciences de la mer constitue historiquement un pôle fondamental de la recherche à l’UQAR. L’Institut des sciences de la mer de Rimouski (ISMER) et les unités de recherche associées constituent, par la présence effective d’une masse critique de chercheurs, des réalisations de très grande importance dans le domaine des sciences de la mer.

1 Institut des sciences de la mer

ISMER (Institut des sciences des sciences de la mer)

L’UQAR est dotée d’infrastructures de pointe de grande qualité qui offrent aux chercheurs un potentiel de recherche unique. Plus de 50 M$ ont été investis en infrastructures (incluant les équipements) soutenant le secteur des sciences de la mer dans la région de Rimouski et plus particulièrement à l’UQAR-ISMER au cours des dix dernières années.

L’ISMER possède plusieurs infrastructures de recherche lui permettant de se positionner comme chef de file dans le vaste domaine des sciences de la mer. En plus d’un parc d’instruments océanographiques hautement performants et de laboratoires dotés d’équipements de pointe, les chercheurs de l’ISMER disposent de deux infrastructures majeures : un navire de recherche océanographique et une station aquicole.

Navire de recherche océanographique Coriolis II
En plus d’un parc d’instruments océanographiques hautement performants, l’UQAR dispose d’un navire de recherche océanographique ultramoderne de 50 mètres équipé des dernières innovations technologiques.

Véritable laboratoire flottant, le Coriolis II dispose d’espaces dédiés exclusivement aux travaux de recherche. Ses laboratoires permettent de former des équipes de recherche multidisciplinaires pouvant accueillir 14 scientifiques, en plus de l’équipage régulier du navire. Il répond aux plus hautes normes de certification maritime et peut naviguer partout dans le monde. Il a notamment permis la réalisation des missions MARES et MARGES dans le golfe San Jorge pour l’Argentine.

Station aquicole
La station aquicole de l’ISMER est un laboratoire satellite de type « station marine » qui est pourvu d’un système performant de pompage de l’eau de mer permettant d’y réaliser à l’année longue divers travaux de recherche de pointe en aquaculture, en biologie marine et en écotoxicologie.

La station aquicole est également équipée de mésocosmes permettant l’étude des écosystèmes. Ces « morceaux » d’écosystèmes non modifiés prélevés en milieu naturel et ramenés en laboratoire sont maintenus en milieu contrôlé (température, salinité, matière organique, etc.) pour la réalisation d’études diverses (simulation d’hypoxie, ajout de contaminants, augmentation de la température, changement de la quantité de matière organique, etc.).

Centre d’appui à l’innovation par la recherche
L’UQAR s’est dotée d’un pavillon comprenant des espaces de laboratoire de recherche en chimie, en biologie et en océanographie. Le Centre d’appui à l’innovation par la recherche (CAIR) a pour mission d’appuyer l’innovation des entreprises et des organisations, en particulier les PME, en favorisant et en facilitant l’accès aux expertises et aux équipements de pointe de l’UQAR.

Exemples de laboratoires de pointe

  • Analyse des particules et des surfaces
  • Paléomagnétisme sédimentaire et géologie marine
  • Chimie marine et spectrométrie de masse
  • Simulations et analyses des systèmes océaniques

Cycles supérieurs

Aux 2e et 3e cycles, les programmes de formation suivants sont associés à l’axe d’excellence en sciences de la mer.

Océanographie

Gestion des ressources maritimes

Biologie

Géographie

Développement régional

Ingénierie

Premier cycle

Au premier cycle, les programmes de formation suivants, où les chercheurs associés à l’axe d’excellence en sciences de la mer interviennent, constituent une porte d’entrée intéressante pour les étudiants qui se destinent aux études des cycles supérieurs dans ce domaine.

Biologie

Chimie

Géographie

Ingénierie

Autres formations

Le baccalauréat en administration permet également une poursuite aux cycles supérieurs en gestion des ressources maritimes. Enfin, l’École d’été en océanographie de l’ISMER accueille annuellement des étudiants de niveau postsecondaire pour une courte initiation à l’océanographie côtière.

Ses activités dans le secteur maritime ont amené l’UQAR à agir comme partenaire fondateur de la Technopole maritime du Québec qui renforce le tissu économique maritime du Québec. Ce leadership fait indéniablement de l’UQAR une force motrice majeure pour le positionnement du Québec et du Canada comme pôles internationaux en sciences de la mer.

L’UQAR a ainsi contribué à l’émergence de nombreuses organisations aujourd’hui incontournables dans l’environnement québécois et canadien du développement maritime durable.

Développement régional

L’UQAR cherche à mieux saisir les enjeux et les problèmes auxquels les régions font face en raison des mutations économiques et sociétales contemporaines.

Les chercheurs associés à cet axe de recherche analysent les dynamiques socioterritoriales touchant les régions et élaborent des outils d’aide au développement.

L’expertise en développement régional de l’UQAR n’est pas le fruit du hasard, loin de là. Elle est plutôt issue d’une longue tradition de réflexion et de recherche qui remonte à plusieurs décennies. Dès l’aube de la Révolution tranquille, dans les années 1960, les autorités gouvernementales de Québec et d’Ottawa ont vu dans les régions du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie celles qui allaient devenir de véritables laboratoires d’expérimentation sociale en matière de développement régional.

Université résolument ancrée dans son territoire et ses enjeux, l’UQAR a donc fait siennes les préoccupations liées au développement régional de l’Est-du-Québec d’abord et avant tout, mais aussi plus largement, des territoires faiblement urbanisés. Reconnu comme un axe d’excellence en recherche de l’UQAR depuis 1979, le développement régional regroupe une grande diversité de chercheurs provenant d’horizons divers (sciences humaines, sciences naturelles et sciences appliquées) qui contribuent à mieux connaitre les dynamiques de développement régional et territorial en situation d’instabilité, d’incertitude et de risque.

Par le fait même, ces recherches visent à mieux soutenir les réflexions critiques proposées aux décideurs et à améliorer les instruments de planification et d’aménagement ainsi que les politiques publiques de développement régional.

Le développement régional constitue un pôle institutionnel dominant en matière de recherche, tant fondamentale qu’appliquée, avec plusieurs unités de recherche structurées. Ce champ d’études multidisciplinaire rejoint les préoccupations véhiculées aux niveaux régional, national et international.

Cycles supérieurs

L’objectif académique principal de cet axe de recherche est de familiariser les étudiants avec les enjeux et les problèmes auxquels les régions sont confrontées dans la foulée des mutations sociales et économiques contemporaines. Mettant à contribution les différentes sciences, ces formations à caractère interdisciplinaire explorent les dimensions économiques, sociales, historiques, politiques, géographiques du développement régional, tant dans les pays industrialisés que dans les pays émergents.

Premier cycle

Au premier cycle, les programmes de formation suivants, où les chercheurs associés à l’axe d’excellence en développement régional interviennent, peuvent constituer une porte d’entrée intéressante pour les étudiants qui se destinent aux études des cycles supérieurs dans ce domaine.

Autres formations

Offerte en alternance en Gaspésie et sur la Côte-Nord, le Stage en géographique de l’Est du Québec propose une formation théorique et pratique qui couvre les principaux aléas naturels auxquels le territoire de l’Est-du-Québec est soumis. Elle permet à des étudiants et des professionnels en géographie, en sciences environnementales et en sciences de la Terre d’acquérir de nouvelles expertises en gestion et prévention des risques naturels à l’aide de méthodes et d’outils terrain à la fine pointe de la technologie.

Le Chantier-école d’archéologie de l’UQAR permet aux étudiants, débutants ou expérimentés, d’acquérir une expérience pratique en archéologie dans le contexte d’une fouille programmée, sur le terrain comme en laboratoire. Les fouilles systématiquement organisées sur le territoire du Bas-Saint-Laurent permettent d’initier les participants à la culture matérielle régionale.

L’Université rurale québécoise propose aux deux ans un lieu de rencontre et d’échanges facilitant le nécessaire dialogue entre les savoirs « savants » et les savoirs « d’expérience », entre la théorie et la pratique, entre la réflexion et l’action.

Nordicité

L’UQAR se consacre à l’étude du Grand Nord et des basses latitudes froides, désignée sous le nom de nordicité.

Cet axe de recherche regroupe une grande diversité de chercheurs qui s’intéressent aux environnements nordiques dans une perspective interdisciplinaire autour de disciplines étroitement complémentaires.

Cette approche favorise une issue positive aux enjeux auxquels fait face le Nord dans le contexte du développement socio-économique et des changements environnementaux accélérés.

Les recherches au Département de biologie, chimie et géographie visent à mieux comprendre le fonctionnement des environnements en climat froid, de manière à répondre aux enjeux majeurs dans le domaine de la conservation et de la gestion durable. Elles permettent ainsi de définir l’état
de référence des environnements nordiques et leurs dynamiques de changement.

Elles permettent notamment de mesurer et d’atténuer les risques environnementaux, de proposer des mesures de protection, d’adaptation, de restauration et de conservation des environnements, ainsi que de contribuer au développement forestier et au développement des ressources fauniques. L’évolution de ces environnements dans le contexte du changement planétaire et les relations entre les environnements nordiques et les sociétés humaines sont au nombre des questions de premier plan qui font aujourd’hui de l’UQAR est un chef de file international sur le sujet.

Des équipes de biologistes et de chimistes étudient, entre autres, la valorisation des biomolécules marines, la pollution des environnements aquatiques, l’acidification des océans et les impacts des changements climatiques sur les milieux marins, l’écophysiologie des poissons, l’aquaculture et les oiseaux marins.

En géographie, des chercheurs s’intéressent notamment aux risques naturels, à l’érosion des berges, à la géomorphologie du littoral, à la télédétection marine, à la gestion intégrée des zones côtières, à la dynamique fluviale et au transport des sédiments ainsi qu’à la biogéochimie des systèmes intertidaux et côtiers.

L’Institut des sciences de la mer est un fleuron québécois de la recherche qui jouit d’une réputation internationale. 

Situé au campus de Rimouski et doté d’infrastructures de pointe, il regroupe une importante masse critique de chercheurs et d’étudiants d’horizons disciplinaires variés qui s’intéressent notamment au fonctionnement des systèmes marins nordiques, incluant l’océan Arctique, en regard des changements climatiques, aux impacts de l’activité humaine sur les écosystèmes, à la valorisation des bioressources marines, à la géologie marine et aux risques naturels.

Ces expertises contribuent notamment à la mise en place de connaissances permettant d’aborder les grands enjeux maritimes du Nord.

Chercheurs et étudiants en développement régional analysent notamment les dynamiques socioterritoriales du Québec, incluant celles du Nord, et élaborent des outils d’aide au développement. La réflexion se concentre notamment autour des effets des politiques de développement sur l’économie régionale, de l’acceptabilité sociale des projets d’exploitation des ressources naturelles et de l’adaptation des communautés locales aux changements climatiques.

Les expertises en ingénierie de l’UQAR portent sur plusieurs champs d’études en génie mécanique et en génie électrique permettant divers projets, dont l’identification et l’exploitation du potentiel éolien en milieu nordique, incluant les innovations technologiques assurant une gestion énergétique optimale des équipements permettant d’exploiter ces ressources.

Le succès de la recherche nordique à l’UQAR est soutenu par plusieurs unités de recherche qui en font un acteur de premier plan. Cet axe d’excellence regroupe une communauté de chercheurs de l’UQAR et d’autres établissements associés en provenance de différents horizons disciplinaires.

L’UQAR est dotée d’infrastructures de pointe de grande qualité qui offrent aux chercheurs un potentiel de recherche unique. Plus de 50 M$ ont été investis en infrastructures (incluant les équipements) soutenant notamment l’axe de recherche sur la nordicité au cours des dix dernières années.

Navire de recherche océanographique Coriolis II
En plus d’un parc d’instruments océanographiques hautement performants, l’UQAR dispose d’un navire de recherche océanographique ultramoderne de 50 mètres équipé des dernières innovations technologiques.

Véritable laboratoire flottant, le Coriolis II dispose d’espaces dédiés exclusivement aux travaux de recherche. Ses laboratoires permettent de former des équipes de recherche multidisciplinaires pouvant accueillir 14 scientifiques, en plus de l’équipage régulier du navire. Il répond aux plus hautes normes de certification maritime et peut naviguer partout dans le monde. Il a notamment permis la réalisation des missions MARES et MARGES dans le golfe San Jorge pour l’Argentine.

Stations de recherche
Dans le cadre de ses activités au Centre d’études nordiques, l’UQAR dispose, à Radisson, d’une station de recherche pouvant accueillir jusqu’à 20 chercheurs. 

La Station d’études montagnardes (SEM) de l’UQAR a été lancée en 2021. Ce laboratoire de recherche aménagé au Parc national de la Gaspésie ouvre la voie au développement d’une culture de la vulgarisation scientifique dans les parcs du Québec.

L’UQAR dispose également de stations climatiques automatisées pouvant être déplacées en tout point du territoire et permettent d’évaluer l’impact à long terme des changements climatiques et des perturbations forestières (aménagements sylvicoles, chablis, etc.) sur le régime hydrique et sur le cycle des éléments nutritifs, l’érosion côtière, etc.

Simulateurs environnementaux
Uniques au Canada, les chambres climatiques en milieux froids permettent d’étudier, en conditions contrôlées ou seminaturelles, plusieurs mécanismes permettant aux oiseaux de s’ajuster aux contraintes énergétiques associées à l’environnement (ex. : régulation hormonale de la production de chaleur, changements morphologiques et comportementaux, nutrition). Ces infrastructures permettent également d’étudier la capacité des oiseaux à s’acclimater aux perturbations climatiques résultant du réchauffement global.

Dans le domaine maritime, les mésocosmes sont des « morceaux » d’écosystèmes non modifiés prélevés en milieu naturel et ramenés en laboratoire qui sont maintenus en milieu contrôlé (température, salinité, matière organique, etc.) pour la réalisation d’études diverses (simulation d’hypoxie, ajout de contaminants, augmentation de la température, changement de la quantité de matière organique, etc.).

Centre d’appui à l’innovation par la recherche
L’UQAR s’est dotée d’un pavillon comprenant des espaces de laboratoire de recherche en chimie, en biologie et en océanographie. Le Centre d’appui à l’innovation par la recherche (CAIR) a pour mission d’appuyer l’innovation des entreprises et des organisations, en particulier les PME, en favorisant et en facilitant l’accès aux expertises et aux équipements de pointe de l’UQAR.

Exemples de laboratoires de pointe

Cycles supérieurs

L’objectif académique principal de cet axe de recherche est de former des scientifiques aptes à surmonter les enjeux majeurs du 21e siècle et de contribuer au développement durable des régions nordiques. Aux 2e et 3e cycles, les programmes de formation suivants sont associés à l’axe d’excellence en nordicité.

Biologie

Géographie

Océanographie

Développement régional

Ingénierie

Premier cycle

Au premier cycle, les programmes de formation suivants, où les chercheurs associés à l’axe d’excellence en nordicité interviennent, constituent une porte d’entrée intéressante pour les étudiants qui se destinent aux études des cycles supérieurs dans ce domaine.

Biologie

Chimie

Géographie

Développement régional

Autres formations
L’Université d’été en phénologie des processus d’écosystèmes est un cours intensif de 7 jours qui s’intéresse aux concepts, méthodes et problématiques de l’étude de la phénologie des processus d’écosystèmes comprenant des activités en classe, en laboratoire et sur le terrain dans le Parc national de la Gaspésie.

Le Stage en biogéographie côtière, montagnarde et alpine propose une formation multidisciplinaire intensive de six jours qui aborde de manière concrète sur le terrain les concepts, méthodes et problématiques de nombreuses sous-disciplines de la biologie (aménagement, écologie, conservation, gestion des habitats, etc.) et de la géographie (géomorphologie, gestion des aléas, dynamiques fluviales, dynamiques des versants, etc.)

Offerte en alternance en Gapésie et sur la Côte-Nord, le Stage en géographique de l’Est du Québec propose une formation théorique et pratique qui couvre les principaux aléas naturels auxquels le territoire de l’Est-du-Québec est soumis. Elle permet à des étudiants et des professionnels en géographie, en sciences environnementales et en sciences de la Terre d’acquérir de nouvelles expertises en gestion et prévention des risques naturels à l’aide de méthodes et d’outils terrain à la fine pointe de la technologie.